1. Maman...pourquoi es tu aussi salope ? (3)


    Datte: 26/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... doigts dans son vagin. Mario, après une séance de sodomie fort sportive jouit et laisse sa place à son camarade, qui lui, après les doigts, défonce ma mère à coups de bite.
    
    La séance de baise dura bien 30 minutes, chacun enculant ou baisant ma mère selon son envie, tant que les six malotrus eurent des réserves de vitalité. Durant tout ce temps ma mère avait accepté avec joie toutes les caresses, doigts, sexes, qui se présentaient dans les “trois portes du Paradis”...
    
    Et elle n’avait cessé de gémir, ahaner, crier sa jouissance...combien avait-elle eut d’orgasmes, difficile à dire. En tout cas elle ne semblait pas “repue”, car quand les jeunes se rhabillèrent, elle commença à râler “qu’elle n’avait pas eu son compte”.
    
    “ Nous devons partir, Josiane, mais ne t’inquiète pas, on se reverra ! Et tiens je te rends ton dû, tu l’as bien mérité…
    
    -Mais vous ne me détachez pas ?
    
    -J’ai dans l’idée de te laisser là, offerte au premier venu qui empruntera ce chemin… quand il t’aura fait ta petite affaire , tu lui ...
    ... demanderas de te détacher…”
    
    Mario place le sac juste derrière l’arbuste auquel ma mère est attachée, et prenant une feuille de papier, qu’il place sur le ventre de ma mère, il écrit :
    
    “ Étranger! Toi qui passe sur le chemin, viens me baiser de la façon qu’il te conviendra. Je suis une nymphomane placée là par mon “maître”, et je désire être baisée par tous les trous.
    
    Je te demande simplement de me délivrer en échange…”
    
    Après le départ des malotrus, je reste dans mon buisson, attendant d’être sûr qu’ils ne reviennent pas. Puis silencieusement je m’approche de Josiane, ma mère, nue et offerte…
    
    Toujours filmant, j’admire sa plastique de petite salope en chaleur, dont tous les orifices débordent de sperme...ses seins dont les pointes sont dressées par l’excitation, sa petite chatte au pubis recouvert d’un duvet sombre, son ventre accueillant, sa bouche entrouverte aux lèvres pulpeuses.
    
    Alors… avec le recul, je dois bien avouer qu’il m’est venu, à ce moment là, une idée pas très catholique dira t ‘on ! 
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