1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1076)


    Datte: 26/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... la soumise, les chaînes étaient détendues et avaient du mou et Sangmo ainsi pouvait bouger les bras comme elle le désirait. Mais cela ne dura pas longtemps. Walter actionna manuellement une manivelle qui fit remonter lentement mais inexorablement les chaînes à se tendre de plus en plus verticalement, jusqu’à ce que ses bras se retrouvent en extensions douloureuses au-dessus de sa tête. Le Majordome mit alors un carcan épais autour de son cou, reposant sur ses épaules, avec une sorte de minerve montante, lui interdisant tout mouvement de la tête. Il alla jusqu’à une commode et en ramena divers équipements : Un bâillon écarteur, quatre pinces mordantes, un plug et un gode vibrant équipé de lanière.
    
    Walter mit d’abord en place le bâillon, puis il installa deux pinces sur les tétons de Sangmo qui s’étaient érigés, preuve, s’il en fallait, de l’excitation de la chienne, et les deux autres sur ses lèvres intimes fort humides. Il en profita pour titiller son clitoris déjà palpitant puis introduisit trois doigts dans sa chatte, qu’il trouva donc à l’instar de ses lèvres vaginales déjà fortement mouillée. Il la masturba ainsi quelques instants puis il fourra ses doigts dans l’écarteur buccal, exigeant qu’elle se serve de sa langue comme elle le pouvait pour les lui nettoyer de ses souillures. Le Majordome enfonça alors le gode dans sa caverne qui était devenu trempée, fixant les lanières autour de sa taille et de ses cuisses pour qu’il ne puisse pas bouger de son emplacement. Et ...
    ... il finit par le plug qu’il enfonça, après un court travail de ses doigts, profondément dans son cul. Au vu de l’élasticité incontestable de son petit trou, Walter comprenait que cet orifice était loin d’être négligé. Il approcha alors un appareil en bois vernis motorisé. Cette machine était équipé d’un long gode. Un mécanisme lui permettait d’avancer et de reculer à une vitesse que l’on pouvait programmer. Walter le régla d’abord manuellement, pour qu’il ne puisse pas s’enfoncer plus profondément que la gorge de Sangmo ne pouvait le recevoir.
    
    L’écarteur et la façon dont la soumise était immobilisée lui permis de faire ses réglages sans que cette dernière ne puisse faire le moindre mouvement. Les réglages furent rapides mais précis, donc elle n’eut pas le temps de se sentir étouffée par le sexe factice qui était pourtant d’une belle épaisseur. Le Majordome mit alors l’appareil en fonction, puis il quitta le champ de vision de Sangmo, avant d’éteindre la lumière, la plongeant ainsi dans un noir profond. Les seuls bruits qu’elle entendait étaient ceux du moteur qui commença à activer le manche en bois pénétrant. Il allait et venait dans sa bouche à un rythme lent, s’enfonçant toujours plus profondément. La première fois qu’il arriva à la butée programmée, il n’y resta qu’une seconde avant de sortir entièrement de la cavité. Il accéléra alors un peu mais cette fois-ci il y resta plus longtemps. Chaque fois qu’il ressortait, c’était pour que son mouvement s’accélère et que son ...