1. Première rencontre avec Mademoiselle Daphnée


    Datte: 25/06/2019, Catégories: hplusag, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme chaussures, nopéné, portrait, fsoumisah, vêtements, Auteur: Monsieur de Guermantes, Source: Revebebe

    ... guère de travail d’ici l’heure du thé. Profitez-en pour visiter le Manoir.
    — Si Monsieur le permet, je préfère prendre le temps de me préparer. Mais je serai prête pour le service de 17 heures, Monsieur.
    
    Daphnée s’était levée. Elle lissa la jupe sur ses cuisses, mit ses gants et les accessoires dans le sac et demeura debout devant moi, attendant les ordres en silence. La joie se lisait sur son visage. Pour ma part, j’avais hâte de la conduire dans son boudoir.
    
    Avant de quitter le petit salon, j’eus le loisir de vérifier encore une fois que Daphnée avait les jambes longues et fuselées, les genoux fins et joliment dessinés. Elle semblait enchantée que je l’ausculte maintenant de manière si peu discrète. Elle n’en était pas dérangée outre mesure ; elle en tira sans doute quelque fierté féminine.
    
    Daphnée m’accompagna à l’étage. Ses talons claquèrent sur le parquet. Il faudra que je m’habitue à ce bruit, à la présence de ma secrétaire, pensai-je en montant les escaliers. Bien que je prenne soin de réfréner toute trace d’émotion, ma confusion ne cessait de grandir.
    
    Dans le couloir, je vis que Daphnée me suivait avec une curiosité non dénuée de plaisir. Elle regardait poliment la décoration, appréciait le mobilier et la disposition des pièces. Elle marchait avec élégance, attentive à me montrer le meilleur d’elle-même. Je dus reconnaître à part moi que si ses services étaient à la hauteur de ce que j’avais vu pour le moment, sa présence au Manoir serait des plus ...
    ... précieuses.
    
    À mesure que nous approchions, ses gestes devinrent plus nerveux et elle passa plusieurs fois les mains sur sa jupe pour vérifier son ajustement. Était-ce la gêne ou une légère appréhension, mais elle se rapprocha de moi au point de me frôler. Au moment où j’allais ouvrir la porte du bureau, je me tournai vers elle. Sa jupe bien coupée lui donnait une allure seyante. Elle avait déjà tout de l’assistante.
    
    — En fait de bureau, il s’agit pour le moment d’une simple pièce équipée de matériel informatique. Votre réponse si rapide à mon annonce ne m’a guère laissé le temps de mieux préparer l’endroit. Le boudoir attenant est moins exigu, je sais que vous aurez besoin d’un espace plus grand pour y ranger vos affaires.
    — Oui, Monsieur, surtout si je suis polyvalente. J’aurai beaucoup de choses à mettre.
    
    Je poussai la poignée en métal et la jeune femme découvrit la pièce. Les murs repeints de frais, tout en rose pastel, et le mobilier design parurent lui convenir. Depuis une semaine, j’avais aménagé la pièce au rythme des tenues livrées au Manoir. J’avais peur d’avoir manqué de goût.
    
    — Oh, c’est joli…
    
    Elle resta un moment près de l’ordinateur, dont l’écran mis en veille se ralluma au déplacement de la souris. Des dossiers épais reposaient à droite du clavier, attendant qu’on les examine.
    
    Mais déjà Daphnée s’était glissée dans le boudoir, sûre d’elle. Au fond de la pièce se trouvaient un canapé, une commode et, dans un coin, la coiffeuse. Une porte entrebâillée ...
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