1. Dans un mois, je me marie... (1)


    Datte: 25/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... avec l’une d’elles, Margaux, qui m’a fait connaître bien d’autres lieux de perdition ( ? )... et participer avec elle a des soirées privées.
    
    Il y a quelques semaines, Margaux m’a invitée à la rejoindre un prochain week-end dans un club coquin que son homme venait d’ouvrir à Bordeaux ! Elle allait quitter Paris et elle m’a montré des photos de ce club (encore en travaux) mais qui m’a semblé devoir être très convivial.
    
    Que faire ?
    
    J’allais me marier à la fin du mois suivant et je voulais mettre fin à mes habitudes libertines que mon futur mari ne comprendrait pas...
    
    Je dis à Margaux que j’étais d’accord.
    
    Elle devrait organiser la soirée pour que je sois comblée pour ma dernière orgie !
    
    Et je fus comblée !
    
    Margaux m’attendait à Mérignac, l’aéroport de Bordeaux... Les retrouvailles ont été particulièrement chaudes, même si nous nous étions vues à Paris trois semaines plus tôt... Comme moi, elle était vêtue d’une robe qui lui arrivait à mi-cuisse et portait des chaussures à talons démesurés. La robe s’ouvrait sur le devant par une fermeture à glissière et je vis qu’elle ne portait pas de soutien-gorge car ses tétons pointaient outrageusement sous le tissu léger ! Ses longs cheveux noirs roulaient en cascade sur ses épaules justes couvertes par les larges bretelles de sa robe.
    
    De mon côté, je portais une tenue à peine plus sage et j’avais laissé libres mes cheveux blond cendré qui descendaient entre mes épaules.
    
    Dès que nous avons été installées dans ...
    ... son cabriolet, Margaux s’est tournée vers moi et m’a embrassée amoureusement en me disant qu’elle m’avait préparé une soirée TOP... et que je lui en dirais des nouvelles... Dans le même temps, j’ai senti sa main gauche investir mon entrejambe pour glisser sous mon string... En moins de 30 secondes, j’avais la chatte inondée de cyprine tant les caresses de Margaux étaient chaudes...
    
    Humm... que c’était bon... et cela n’était que le prélude !
    
    Nous avons quitté le parking de l’aéroport pour gagner le centre-ville... En ce début d’après-midi, la circulation étant dense et je laissais Margaux à la conduite de son petit bolide allemand.
    
    Elle m’a fait entrer dans son univers au second étage d’un immeuble style fin XIXème situé dans une petite rue de la rive gauche de la Garonne. Le club, m’a-t-elle dit, occupait le premier étage et le rez-de-chaussée... le sous-sol n’était pas achevé.
    
    Je me suis préparée pour la soirée. Après une longue douche, je me suis apprêtée, retaillant ma toison pubienne en ne laissant que quelques millimètres de poils drus en forme de ticket de métro. J’ai parfumé mon corps et déposé par endroits des paillettes dorées...
    
    J’enfilai une petite robe noire, très courte et dont les fines bretelles se croisaient dans le dos par un laçage savant qui descendait jusqu’à la raie de mes fesses.
    
    Je n’avais pas besoin de soutien-gorge car mes petits seins étaient bien fermes et je n’enfilai qu’un string minimaliste fait d’un triangle de tissu doré juste ...
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