1. Les routiers sont sympas (18)


    Datte: 24/06/2019, Catégories: Hétéro Auteur: petikokin, Source: Xstory

    ... bout... Joseph, tu nous regarderas et tu nous donneras tes conseils...
    
    — C’est vrai que je commençais à aimer aussi nos caresses... J’ai aussi envie de jouir...
    
    — Mettez-vous nues et continuez... Je veux bien vous conseiller, mais je suis sûr que vous saurez y arriver...
    
    Élodie va chercher et étale sur le lit un grand drap de bain. Quittant leurs peignoirs et leurs culottes, à genoux sur le lit, les filles se regardent, un sourire béat aux lèvres...
    
    — Tu es belle – dit Élodie...
    
    — Tu n’es pas mal non plus – répondit Nathalie...
    
    — Élodie, tu te contractes, détends-toi, arrête de penser, profites-en... Pense à ton plaisir... Pense au plaisir que tu vas donner... Vous êtes deux belles filles, bien désirables... Caressez-vous... Faites-vous jouir comme jamais... Profitez-en... Plus vous aurez d’expériences, plus vous ferez des hommes heureux
    
    Se savoir belles et désirables était un sentiment qu’elles appréciaient. Elles étaient flattées de toutes mes attentions. Chacune aurait pu profiter égoïstement de son plaisir. Mais elles voulaient partager.
    
    S’approchant l’une de l’autre, s’enlaçant, après un instant d’hésitation, leurs bouches se joignent pour un long baiser sensuel...
    
    — Je ne pensais pas qu’un jour j’embrasserai une fille comme cela... - dit Nathalie.
    
    — Moi non plus... Mais je trouve que c’est agréable... répond Élodie.
    
    Depuis leur rencontre, elles se sentaient différentes. Quelque chose d’indéfinissable s’était déclenché en elles. Elles ont ...
    ... ce sentiment bizarre de braver les interdits, qui a fini par se transformer en une excitation grandissante.
    
    Leur relation était si récente : à peine quarante-huit heures, et un repas un peu arrosé...
    
    Elles sont bien loin ces filles plutôt timides et réservées, limite coincées...
    
    Elles sont devenues ces femmes sensuelles, sauvages, brûlantes, impudiques, qui découvrent une autre forme de plaisir, plus intense.
    
    S’écartant légèrement, leurs mains, tout en caressant leurs épaules, leurs bras, leurs flancs, se dirigeaient vers leurs poitrines.
    
    Tout en léchant et en embrassant par petits baisers, leurs bouches suivent le même chemin que les mains. Arrivées sur place, les mains massent les seins, les bouches sucent les mamelons. Quelques soupirs lascifs commencent à s’échapper des gorges...
    
    Elles ne peuvent contenir plus longtemps les sensations qui déferlent en elles.
    
    Frissonnantes, les corps tendus de désir, elles se contractent sous le plaisir des caresses prodiguées. Haletantes, le cœur battant à tout rompre, elles tentent de retrouver leurs esprits.
    
    À demi conscientes, elles se murmurent à l’oreille :
    
    — Que tu es belle... Non, s’il te plaît, n’arrête pas, pas encore !... Encore !...
    
    Les réponses étaient :
    
    — Laisse-toi aller...
    
    — Non, je ne peux pas,... c’est trop fort, je... n’arrive pas à contrôler...
    
    — Ne contrôle rien, laisse-toi dévaster par le plaisir, tu es si belle lorsque tu jouis - bredouillaient-elles
    
    Les jambes entrouvertes, ...
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