1. Le fantasme qu'est ma belle-fille (suite)


    Datte: 24/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Marcusix, Source: Hds

    Depuis que j’ai été secrètement témoin des ébats entre ma belle-fille et un de mes collègues, je la sexualise complètement : c’est une pute, une salope dans le sens sexuel du terme. Autrement, c’est une fille sage, agréable et pleine de vie.
    
    Mais sexuellement, elle m’obnubile. Et le pire quand on est obnubilé sexuellement par sa belle-fille, c’est qu’il n’y a rien à faire pour se vider la tête car c’est inassouvissable. J’ai beau coucher avec sa mère (mon épouse), je pense toujours à son jeune corps magnifique et à sa fougue ; alors je pense à elle en me masturbant mais ça ne fait qu’aiguiser mon désir pour ma belle-fille.
    
    Elle me fait bander rien que me regardant. Mais hors de question de la toucher, c’est ma belle-fille, ma fille. Mais à force de l’imaginer se dévêtir lascivement quand elle part se coucher, ou d’espérer et craindre à la fois de tomber sur elle dans la salle de bain, j’ai succombé et j’ai invité des collègues à déjeuner, en espérant qu’elle remette le couvert. Je profitais de l’absence de ma femme pour les inviter, un par un, et voir si, en m’absentant, quelque chose se passait.
    
    En vain, puisque Sonia s’est toujours bien comportée. Résigné, j’ai invité Simon, mon collègue avec qui elle a couché. Je m’en voulais de l’inviter car il a baisé ma fille, l’a soumise à sa queue. C’était comme si j’invitais l’amant de ma femme. Il ignorait que je les avais espionnés et pourtant je me sentais soumis moi-même.
    
    Mais rien ne s’est passé durant le repas. ...
    ... Je me suis imaginé des attouchements sous la nappe mais en réalité, rien. En les laissant seuls, idem, si ce n’est un échange de numéro de téléphone.
    
    Le temps a passé et j’assouvissais mes désirs comme je pouvais : sentir ses sous-vêtements sales, l’épier à notre piscine… L’anniversaire de Simon est arrivé et j’avais entendu 2-3 collègues parler d'une soirée privée. Cela a fait tilt quand Sonia m’a demandé de l’accompagner en ville pour une soirée le même soir.
    
    Je l’ai accompagnée à l’endroit qu’elle m’avait indiqué et je suis parti mais une fois hors de vue, j’ai fait demi-tour pour l’espionner. Une voiture est arrivée et elle y est montée. Je l’ai suivie… jusqu’à l’entreprise où je travaille.
    
    J'ai attendu ; une lumière au 3ème étage s’est allumée et j’y suis allé discrètement. Arrivé à l’étage, j’ai suivi les voix et la musique jusqu’à atteindre la porte de la salle de conférence. La porte était ouverte.
    
    Simon et deux collègues étaient assis et Sonia était là, debout sur la grande table de conférence, vêtue d’un shorty et d’un soutien gorge en spandex violet. Elle dansait lascivement au son de la musique devant mes collègues. Elle leur faisait un strip-tease et je dois dire que le spectacle avait l’air magnifique.
    
    Déjà, son shorty moulait parfaitement ses fesses rebondies et j’enviais mes collègues qui ne se privaient pas de la toucher quand elle passait à portée de main. Elle portait des chaussures à talon qui allongeaient ses jambes à l’infini.
    
    Ensuite, ...
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