1. Non-assistance à personne en danger


    Datte: 04/03/2018, Catégories: fhhh, grp, gros(ses), fsoumise, Oral Partouze / Groupe hdanus, attache, confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... ravisseur. Axelle chevauche son mari, couché sur un matelas à même le sol. Le Phil, maintenant nu, est en train de se faire pomper par mon amie. Elle y met de l’ardeur, montant et descendant sur le pieu marital tout en enfournant la queue que l’homme pousse sans retenue dans sa gorge.
    
    Sa tête est prise dans l’étau des mains larges et puissantes qui la retiennent lorsque l’homme pousse, centimètre après centimètre, sa queue luisante de salive et de bave.
    
    Le mari ne cesse de claquer les fesses de sa femme, les abandonnant pour aller tirer sur les seins, les tordre et allonger les tétons. Axelle gémit, mais la bouche pleine ne laisse passer que des grognements que je ne saurais identifier comme de plaisir ou de douleur.
    
    — Allez, salope ! Pompe-le, fais-le reluire. C’est autre chose que la petite bite de tes amants !
    
    Jacek est déjà à moitié déshabillé qu’il m’indique le canapé juste à côté. Le temps de m’y asseoir et il est nu, montrant un sexe en érection. Suis-je responsable de cet état ? Ou est-ce le spectacle de ces trois corps en action ?
    
    Sa queue est d’une raideur époustouflante, tendue et plaquée contre son pubis, mât parfait où un drapeau pourrait se fixer. Aussitôt il la revêt d’une capote et déroule le latex tout au long de la hampe.
    
    Maintenant il s’approche d’Axelle. Son sexe paraît plus gros et plus long avec le repère des fesses de la femme. Le gland surtout, champignon écrasé par le plastique mais ô combien imposant…
    
    — Voilà ; pointe-lui le ...
    ... cul, à ma garce de femme. On va lui faire passer l’envie d’aller voir ailleurs. Va, défonce-la, qu’elle ne puisse plus s’asseoir pendant une semaine.
    
    Je croise le regard de mon amie, la bouche toujours déformée par la bite de Phil. Je n’y trouve aucune crainte ; au contraire, cette lueur, c’est celle du plaisir.
    
    — Non, attends, attends. Je veux la voir s’ouvrir le cul pour ta queue, dit le mari alors que Jacek allait se lancer. Allez, putain, ouvre ton cul à Jacek !
    
    Si j’entendais ces paroles hors de ce contexte, je serais anéantie par une telle violence et cette vulgarité. Mais je sais maintenant que tout cela fait partie du jeu, de cette mise en scène que le couple apprécie.
    
    D’ailleurs, c’est d’un érotisme torride de voir Axelle tendre ses bras en arrière pour que ses mains écartent la raie des fesses. L’anus est entrouvert, trou sombre qui se détache de la corolle à peine teintée.
    
    Jacek laisse tomber de la salive sur les fesses, mais la voix de Marc retentit :
    
    — À sec. Encule-la à sec ! Cette salope est sûrement déjà mouillée de l’intérieur. Elle aime la bite. Elle veut de la bite. Allez…
    
    Jacek abandonne les préliminaires. Sa queue se place tout naturellement face au trou. Juste quelques millimètres plus bas, un autre mandrin va lui servir de base.
    
    Un coup de reins et l’engin glisse, déforme l’anneau et le moule à sa taille.
    
    Je suis chaque fois étonnée de ce que nous, les femmes, puissions accepter de vos bâtons masculins. Nos chairs ne sont que des ...
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