1. Juste pour ton plaisir


    Datte: 23/06/2019, Catégories: hh, hbi, hplusag, jeunes, inconnu, hsoumis, cérébral, vidéox, Masturbation facial, Oral hdanus, hsodo, init, Auteur: Pleomex, Source: Revebebe

    ... bouche encore endolorie.
    
    Avant que mes yeux ne se ferment je remarque que sur le mur derrière moi est projeté un film où deux hommes s’embrassent… et je sombre …
    
    Je me sens bien, je me sens détendu, je n’ai pas envie de bouger, j’entends du bruit tout autour de moi, je me sens émerger d’un endroit où j’ai envie de rester, où tout est calme.
    
    Les bruits se transforment en gémissements, je sens une grosse chaleur sur mon bas-ventre, mais je n’ai pas envie d’ouvrir les yeux, je veux profiter. Mais je me sens attiré par la réalité, et je sens un coulissement sur mon sexe, un coulissement très pur, sans accroc, un aller-retour qui me donne l’impression de prendre une fille, mais cette idée me déplaît alors je la mets de côté, je me décide à ouvrir les yeux et ce que je vois me saute aux yeux.
    
    Un mec suce une bite énorme sur le mur blanc en face de moi, c’est un film gay qui passe sur un projecteur. Alors mon regard se baisse et je vois mon homme en train de me masturber lentement, il me sourit quand il me sent me relever
    
    — Tu as bien dormi ?
    — Ou… oui …
    
    J’ai encore la bouche pâteuse et je sens le goût du sperme qui n’a pas l’air de vouloir me quitter, tant mieux … Je suis totalement nu et ma tête repose sur le canapé, je n’ai pas encore entièrement émergé.
    
    Son mouvement de main me berce, me fait monter, mais je n’ai pas envie de jouir, oh que non, de peur que tout retombe comme un soufflé resté trop longtemps au four.
    
    Je n’ai pas envie qu’il me suce, ...
    ... c’est mon homme, et je pense qu’il l’a compris car sans me lâcher il s’approche de moi. Lui est encore habillé, mais n’a plus le haut, j’ai envie de caresser ses pectoraux mais la force me manque, mon bras s’écrase mollement le long du canapé. Il sait que je suis encore amorphe, alors il se met à genoux et me présente son sexe, mais je ne le vois que lorsque mes yeux se rouvrent, il bande déjà un peu, sa bite est à l’horizontale et il sait ce que je veux, alors il s’approche.
    
    Je n’ai qu’à ouvrir la bouche pour engouffrer son objet de désir…
    
    — Tu aurais un peu d’alcool s’il te plait ?
    — Bien sûr, me répond-il d’un air amusé.
    
    Il se lève, passe derrière le bar qui lui fait office de cuisine et me propose un whisky-coca que j’accepte d’un geste de la tête. Il me le sert, bien dosé d’après le temps pendant lequel j’entends le premier écoulement de liquide.
    
    Il s’approche de moi et me le tend. Je porte le verre à ma bouche et laisse le liquide bouillant parcourir tout mon œsophage, le brûler puis me remonter à la tête, comme une drogue trop puissante qui ne veut pas s’arrêter là et prend d’assaut mon cerveau. Le verre est grand, mais ma soif me pousse à l’avaler d’une traite.
    
    — Eh bien, tu avais soif on dirait ! Mais ça, je le savais déjà…
    
    Son sous-entendu me fait pouffer et je manque de m’étouffer avec la dernière gorgée
    
    — Excuse-moi, ça va ?
    — Pas de problème, lui répondis-je avec un grand sourire, lui tendant le verre.
    
    Puis d’un élan commun, nos têtes se ...
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