1. Juste pour ton plaisir


    Datte: 23/06/2019, Catégories: hh, hbi, hplusag, jeunes, inconnu, hsoumis, cérébral, vidéox, Masturbation facial, Oral hdanus, hsodo, init, Auteur: Pleomex, Source: Revebebe

    ... l’endroit que je me suis toujours refusé.
    
    "Merde mon gars, tu perds la boule !" Rien à foutre, c’est comme si chaque vague de plaisir venait recouvrir le sable de la raison, et qu’à chaque fois elle en emportait un peu avec elle.
    
    Je sens le liquide chaud de ma jouissance monter, mais j’arrête net, alors que ma bite continue de pulser dans ma main serrée.
    
    Je sors sans réfléchir de la douche, met un 507 qui me moule les fesses (je le réserve d’habitude à mes soirées de chasse en boîte) et un maillot moulant noir en stretch.
    
    Je passe devant la glace pour mettre mes cheveux en place très vite et je me vois dans la lumière des lampadaires qui filtre à travers la fenêtre de ma salle de bains. Au lieu de me dégoûter, comme je l’aurais certainement pensé il y a à peine deux jours, je me sens bien, désirable, presque bandant.
    
    Je sors, mets mes pieds nus dans mes baskets et sors de l’immeuble.
    
    Le vent un peu chaud me fouette le visage et j’y sens une odeur de désir, palpable, moite, qui me donne déjà l’envie de prendre en bouche, quoi ? Je n’en sais rien…
    
    Je marche vers sa maison, je la sens qui se rapproche et la bosse dans mon jean qui grossit, et à chaque pas je m’imagine un peu plus soumis, un peu plus femme, tout ce feu qui passe de ma tête à mon ventre me donne envie de gémir ou de pleurer, ou les deux. J’ai l’impression de laisser chez moi le Julien que j’ai été, et c’est bon, c’est tellement bon que j’ai envie de le dire aux quelques personnes que je ...
    ... croise.
    
    J’arrive dans sa rue, déjà trempé, la chaleur est écrasante maintenant. Je sonne, j’attends des secondes qui me paraissent des heures, puis une très faible lumière filtre par des petits carreaux en haut de la porte du garage auquel je m’appuie. Apparemment, ce garage fait toute la largeur de sa maison.
    
    Il ouvre enfin, mais il fait à moitié noir, je ne distingue que son corps éclairé par la lumière du lampadaire de la rue et son sourire, radieux…
    
    — Bonjour Julien.
    
    Je sens la joie dans sa voix, mais aussi l’excitation, tout à fait contrôlée, à l’inverse de moi quand je m’entends dire :
    
    — …onjour.
    
    Quel con, je suis tellement excité que je n’arrive même plus à parler correctement !
    
    — Entre, je t’en prie, fais comme chez toi.
    
    Je passe la porte qu’il referme derrière moi. Nous sommes alors uniquement éclairés par la lumière qui filtre de la pièce de derrière, une lumière très faible qui nous donne l’aspect d’ombres et semble jouer avec son anonymat. Je devine enfin son visage quand il tourne la tête comme pour mieux m’observer. Il est tout à fait normal, ne ressemble pas à l’un des pervers que j’avais imaginé rencontrer. Il a un visage qui me serait totalement passé inaperçu si je l’avais croisé dans la rue.
    
    On ne parle pas, on reste ainsi à s’observer pendant plusieurs minutes, mais il voit forcément que mon regard n’est attiré que par son bas-ventre, je l’imagine tellement, même caché derrière ce pantalon, que je le vois.
    
    Je n’en peux plus, je ...
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