éphémère rencontre parisienne (2)
Datte: 23/06/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... il frottait un peu plus les parois c’était divin.
Pendant ce temps, pour occuper mes mains quand elles ne se faisaient pas griffer, comme je l’avais fait auparavant avec son amie, j’avais saisi ses seins que je malaxais avec grand plaisir. La poitrine de mon actuelle partenaire était vraiment opulente, je pense qu’elle devait avoir au moins un bonnet F, peut-être plus. Personnellement je ne suis pas du tout adepte des fortes poitrines mais la nature donne ce qu’elle désire à chacune des femmes qu’elle crée. Je préfère largement les seins de Sandrine qui doivent être en bonnet C, après vous me direz que le plus important est la sensibilité qui accompagne cette poitrine. Personnellement je prends grand plaisir à exciter les tétons et les voir s’ériger, à mes yeux le plus important c’est la sensibilité de la poitrine lors d’un rapport amoureux. Pour ce qui est de la taille je pense que chacun trouve midi à sa porte. J’ai connu une femme qui avait une poitrine énorme, peut-être que cela faisait fantasmer les hommes mais elle, elle considérait cela comme un handicap. Voilà mon petit interlude autour de la poitrine prend fin ainsi.
Au bout de longues minutes à ma grande surprise Muriel s’est retirée et a saisi mon sexe pour aller le positionner à l’entrée de son issue de secours. J’avais un peu peur de lui faire mal, car mon sexe était de belle taille, elle a commencé à se caresser un orifice avec la pointe de mon gland. Vu qu’elle ne se tenait que d’une main au siège de ...
... devant, ce dernier grinçait un peu, mais une fois mon sexe rentré dans son anus, elle s’est à nouveau agrippée des deux mains. J’ai été agréablement surpris de constater au combien son sphincter était dilaté, il y avait limite plus de place dans ce dernier que dans son vagin. À la voir s’activer sur mon dard en érection, il n’y avait pas de doute elle prenait plus de plaisir par derrière que par devant. À chaque fois qu’elle redescendait sur moi, elle dandinait des fesses et je peux vous garantir qu’elle était consciente que cela me faisait un bien fou. De son côté Sandrine était en train de reprendre ses esprits, et elle est rapidement revenue m’embrasser ou plutôt nous embrasser à tour de rôle.
Maintenant Sandrine se chargeait du vagin de son amie et de temps à autre elle me donnait ses doigts à sucer. Je vais vous avouer que quand mon amie m’a proposé que l’on se fasse un resto avec un cinéma derrière, j’étais conscient que nous ferions des folies dans la salle obscure. Par contre pas une seconde je n’aurais pu imaginer que cela finirait en trio coquin et surtout débridé. Je commençais à être embêté car je sentais que la purée commençait à monter de mon côté, je ne savais pas vraiment où en était l’avancement de la jouissance de Muriel. Je savais ouvertement qu’elle prenait beaucoup de plaisir avec mon sexe, mais je savais aussi que Sandrine lui faisait beaucoup de bien, quand elle glissait ses doigts dans sa foufoune. C’est finalement Muriel qui a pris son pied avant moi ...