éphémère rencontre parisienne (2)
Datte: 23/06/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: sifeminin, Source: Xstory
... droite était en train de s’occuper du minou de Muriel, tandis que ma main gauche s’occupait de celui de Sandrine. Nous faisions attention à exercer notre activité coquine en toute discrétion, histoire de ne pas attirer l’attention des trois autres malheureux spectateurs dans la salle. J’étais en train de réaliser que notre invitée était habillée exactement de la même façon que ma partenaire, aucune des deux ne portait de culotte. À ma grande surprise, elles ont interverti les rôles et se sont embrassées au moment du changement de rôle. Bien évidemment, dans la bouche de Sandrine, j’ai retrouvé le goût de mon sexe, pendant ce temps Muriel était en train de me faire une fellation d’anthologie. En même temps elle me caressait l’entrecuisse, cela me faisait un effet monstre.
Pour une première Muriel me sortait le grand jeu, je n’arrêtais pas de me tortiller sur mon siège tant les caresses de ces deux femmes étaient d’une efficacité monstrueuse. En même temps je me disais que je ne connaissais pas vraiment ni l’une ni l’autre. Pour le rapport sexuel que nous avions eu voilà dix bonnes années dans la rue, je ne pouvais pas me targuer de mieux connaitre Sandrine que Muriel. Notre invitée s’aventurait maintenant au niveau de ma sortie la plus intime, elle se permettait de déposer de la salive pour la lubrifier et surtout y glisser un voire plusieurs doigts. Heureusement qu’il y avait six ou sept rangées de sièges entre nous et les autres spectateurs, car ce n’était pas les bruits ...
... de nos cris qui se faisaient entendre mais surtout le bruit du frottement de nos vêtements. C’est vrai que dans le silence de la salle de cinéma, où seule la bande-son perturbait l’absence de tout bruit, il était impossible de ne pas nous entendre. Pour ne pas crier je m’arrangeais toujours à embrasser une de mes partenaires ou leur embrasser le cou ou une main voire même délicatement les mordre à travers leurs vêtements.
Mon sexe n’avait pas dix secondes de répit, il était sans arrêt sollicité par l’une ou l’autre de mes accompagnatrices. Le plus beau c’est que maintenant, en plus de s’occuper de moi, les deux femmes s’occupaient d’elles en même temps. C’est vrai qu’en même temps, même si je mettais du cœur à les chauffer, les deux femmes étaient quand même expertes pour se mettre en condition. En plus des bruits de froissement de tissu que nous gênerions, il commençait à y avoir une très agréable odeur de sexes féminins et ça aussi ça m’excitait. Finalement Sandrine, estimant que nous étions prêts, est venue se positionner devant moi pour littéralement s’asseoir sur mon sexe. Je n’ai pas eu trop le temps de réagir, c’est elle qui dirigeait les ébats, j’aurais bien voulu qu’elle prenne tout son temps pour la pénétration. Pendant ce temps Muriel se chargeait de nous embrasser et en même temps de chatouiller le clito de son amie.
J’étais vraiment un homme chanceux, le contexte dans lequel nous faisions ça m’excitait encore plus, la peur d’être vus, la peur d’être pris. ...