Malai - Histoires de Sexe

Malai

... laquelle on voit la Seine, surplombée de vingt-quatre étages.

— Tu ne voudrais pas me prendre, là, contre la baie vitrée ? J’en rêve depuis que je suis entrée dans ta chambre, hier.

Sans attendre sa réponse, elle l’attrape par la queue, écarte ses jambes, positionne le gland sur sa rondelle, puis en écrasant sa poitrine contre la baie vitrée, elle recule d’un coup son bassin, s’empalant sur la queue de Paul jusqu’à ce qu’elle sente ses poils pubiens contre ses fesses.

Alors, sans qu’il ait en quoi que ce soit besoin de bouger, elle fait aller et venir son bassin, s’empalant toujours plus fort sur le sexe de Paul. Certes, c’est très agréable d’être une simple queue dont on dispose à sa guise, mais Paul souhaite également participer un peu, à sa façon, aussi se saisit-il du sexe à demi gonflé de Malai pour le branler en simultané.

Ils baisent ainsi pendant un quart d’heure, face au soleil levant, et quand il sent qu’il ne pourra plus tenir, il accélère les mouvements de sa main, masturbant plus rapidement la queue de Malai, dans l’espoir d’une jouissance ...

... synchrone. Et, de fait, au même moment où il éjacule dans le cul de sa partenaire, il sent la queue qu’il branle tressauter dans sa main et l’éjaculation synchrone de Malai vient maculer la baie vitrée.

Repus de sexe, ils viennent tous deux s’allonger sur le lit, tendrement enlacés.

— Tu sais, lui dit-elle, même si j’ai aimé te sodomiser, hier soir, au fond de moi, depuis que je prends des hormones, et même avant d’ailleurs, je suis beaucoup plus une femme qu’un homme, et je préfère vraiment que ce soit toi qui me prennes plutôt que moi. Alors je sais qu’on s’est rencontrés parce que tu voulais essayer d’être sodomisé pour savoir ce que ça fait, mais pour moi, c’est toi l’homme, et moi je veux que tu me voies comme une femme. J’adorerais qu’on continue à se voir, mais j’aimerais que tu me considères comme une femme et que tu me baises comme une femme. Qu’est-ce que tu en dis ?
— Je crois que j’en serais ravi, répond-il. Et je crois que je ne pourrais pas rêver d’être vu au bras d’une plus belle femme que toi. Mais peut-être que de temps en temps, tu pourras…