1. Pierre, le Maître


    Datte: 23/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: charime, Source: xHamster

    ... testicules velus. Sa main me fait pencher vers les fesses pour y ratt****r le reliquat. L’odeur y est plus prononcée. Il me force à me pencher encore plus pour que je lèche sa raie, mais le traitement de ma langue semble plaire à mon Obélix qui m’impose de maintenant lécher son anus.
    
    La position n’est pas pratique et j’ai la surprise de voir l’homme se déplacer pour s’installer à quatre pattes.
    
    - Lick my ass, little frenchy slut ! (Lèche-moi le cul, petite salope française !)
    
    C’est ce que je comprends de sa demande dans la langue de Shakespeare.
    
    C’est une première pour moi : aucun de mes amants ne m’a jamais demandé une telle caresse. Bien sûr, je sais que certains hommes aiment cela, et même que la pénétration d’un doigt peut leur procurer du plaisir. La raie poilue laisse deviner le cercle de l’anus souligné d’un disque sombre. Je crains un instant une hygiène déplorable : mais non, juste une odeur forte de transpiration. Ma langue glisse dans la raie, et lorsqu’elle atteint son but l’homme des landes lointaines lâche un cri incongru dans cette gorge de mâle.
    
    Pas de doute, il apprécie, et je m’efforce de le satisfaire.
    
    Pendant ce temps, je sens que son copain est passé à l’attaque. La panique m’envahit. Est-il protégé ? Je veux bien tout ce que l’on veut, mais en sécurité. Un reste d’emballage que je peux entrevoir sur la couchette me rassure. De toute façon, je n’imagine pas Pierre me faire prendre le moindre risque. Rassurée je peux savourer la lente ...
    ... progression du membre dans ma vulve. Cela fait si longtemps qu’une vraie queue ne m’a prise, et ce ne sont pas mes masturbations solitaires qui peuvent remplacer un sexe d’homme, chaud, dur et à la fois souple, glissant dans mon fourreau.
    
    Il commence la douce danse, aux pas simplistes mais que la cadence variable rend la plus pratiquée de par le monde. Mais mon Obélix se plaint car je l’ai abandonné un instant. J’utilise ma langue comme une petite bite qui essaie de forcer le passage du sphincter au rythme imposé par l’autre homme. Il rebande déjà, le gaillard, et maintenant je trouve l’anus assoupli et entrouvert. J’ose y porter un doigt humide, faisant le tour avant de le proposer.
    
    - Yes. Do it.
    
    Même un sourd comprendrait car le geste suit la parole et l’homme recule vers moi. Alors, pour la première fois de ma vie, j’encule un homme. Mon majeur entre facilement, si facilement que j’hésite à lui joindre l’index. J’ose pourtant et la seconde suivante je ramone le fion offert. Obélix confirme son plaisir par cette voix si différente de celle que j’ai entendue au début.
    
    Mais il bouge. Son copain aussi. Le gros recouvre sa bite d’une capote. L’autre enlève la sienne. Quel jeu jouent-ils ? On me pousse au bord de la couchette, en levrette. Le gros s’installe derrière moi, se positionne et son dard m’envahit. Si je craignais la taille de la bête, je suis rassurée car je l’accueille sans douleur. Merci pour la préparation du copain. Ils partagent tout, ces deux-là, et ...
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