Pierre, le Maître
Datte: 23/06/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Auteur: charime, Source: xHamster
... traditionnelle « ticket de métro ». Elle doit s’imaginer mes turpitudes… quoique… non, les turpitudes qui sont miennes depuis ma rencontre avec mon Maître dépassent son imagination… et la mienne également ! Elle a d’ailleurs bloqué lorsqu’elle a découvert mon piercing au clitoris. Heureusement, il me reste deux jours pour que le feu de la crème retombe.
Bien avant l’heure dite, je patiente dans mon salon, dans la tenue exigée. « Patiente » est un bien grand mot ! Disons que je ronge mon frein en arpentant la pièce, juchée sur mes talons.
Pourtant, j’ai pris grand soin à me préparer : douche chaude, massage avec huiles essentielles de l’ensemble de mon corps, maquillage, léger mais soigné, choix d’une jupe noire assez sage, bien qu’elle volette à chaque mouvement et d’un chemisier ouvert assez largement sur ma poitrine libre d’entraves qui satisfait aux desiderata de Pierre, escarpins à talons de 8 cm resserrés autour de la cheville par une petite lanière.
À 19 heures tapantes, l’interphone a grésillé. Sans vérifier qui pouvait sonner, j’ai pressé sur le bouton d’ouverture de la porte du hall. Une minute plus tard, Pierre, accompagné de Nadia et de son mari Patrice, ses amis rencontrés chez lui.
Pierre m’embrasse, Patrice également, tandis que Nadia, la dernière à entrer, me dévore la bouche. Elle porte une tenue assez similaire à la mienne, mais un tantinet plus provocante.
Pierre passe en revue ma tenue du regard, d’un air approbateur.
- Tu as respecté ...
... toutes les consignes que je t’ai transmises ?
- Oui, Maître : toutes… sans exception, dis-je dans un souffle, tout en soulevant ma jupe jusqu’à dévoiler mon sexe glabre.
- Parfait ! Alors ne perdons pas de temps. En route !
Dans la voiture, mon amie me donne quelques conseils pour la suite. Le chemin n’est pas très long et nous arrivons sur une aire de parking remplie de camions. J’apprends qu’ils doivent attendre une certaine heure pour avoir le droit d’emprunter l’autoroute, dixit Bison Futé. Ces monstres sont impressionnants, surtout lorsque l’on marche le long de l’étroit passage qui les sépare.
Nadia, suivie de Patrice à quelques mètres, entreprend sa quête. Il lui faut taper à plusieurs portières avant de recevoir un accord. Ils disparaissent dans la cabine.
C’est à mon tour ; je n’en mène pas large. Heureusement, il fait encore jour. Pierre me suit, assez près pour me rassurer, mais assez loin pour ne pas effrayer le client potentiel.
Premiers coups sur la carrosserie. Une tête apparaît à la vitre. J’ouvre mon chemisier, exposant mes seins nus, comme me l’a montré Nadia. Le geste de la main est clair : c’est non.
Le suivant, c’est une femme qui répond. Je m’excuse de la déranger. Je ne savais pas que des femmes pouvaient conduire ces monstres. Après tout, pourquoi pas ? Je suis bien militaire.
Le troisième, un homme, descend sa vitre et demande :
- Yes. Vous voulez ?
Un accent anglais à couper au couteau. J’expose ma poitrine. Il regarde, puis ...