1. Ma tendre maman (5)


    Datte: 23/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Le templier5466, Source: Xstory

    ... velours, je crois que je ne me lasserai jamais de faire l’amour à cette femme. Hélène m’enserre les reins avec ses jambes, je me retrouve prisonnier, mais le prisonnier le plus heureux du monde ! Cette relation, mal comprise par notre société, décuple notre envie, l’acte charnel n’en est que plus intense. Je rame tout en douceur, de petits, « flop, flop ! » se font entendre entre nos doux gémissements. En plus de m’enserrer de ses jambes, ma belle m’entoure le cou de ses bras. Notre plaisir va monter crescendo, jusqu’à atteindre un point de non-retour, nos fluides vont se mélanger dans une extrême tendresse.
    
    Je suis bien au chaud, je veux faire durer ce plaisir absolu, nous ignorons dans combien de temps nous pourrons nous revoir, alors profitons au maximum l’un de l’autre. Nous prolongeons notre union en nous donnant des petits baisers accompagnés des caresses délicates. Ma virilité ayant perdu de sa superbe, je quitte ce nid douillet. Hélène jette un coup d’œil au radio-réveil.
    
    — Houlala, il est déjà l’heure !
    
    — On a encore le temps ma chérie !
    
    — Tu rigoles, il faut que je prenne une douche et que je finisse ma valise !
    
    L’heure de son départ est arrivée, je conduis Hélène à la gare, un silence de plomb règne dans la voiture pendant le trajet, sa main posée sur ma cuisse se crispe par instant. Voici le quai, Hélène s’agrippe à mon bras, tandis que je tracte sa valise. L’étreinte des aux revoirs est intense, notre baiser dure longtemps, très longtemps. Le ...
    ... chef de gare siffle, encore un dernier baiser, Hélène monte dans le train, les portes se ferment. De derrière la vitre, ma chérie avec ses doigts forme un cœur, et je peux lire sur ses lèvres, « JE T’AIME ».
    
    Le train s’ébranle, accélère et disparaît, je me sens soudain seul, très seul, et tel un zombie, je regagne ma voiture. A peine suis-je installé au volant que mon téléphone vibre, premier SMS de la journée qui sera suivi d’un nombre incalculable d’autres. Arrivé chez moi, une chose me frappe, plutôt une odeur, celle de mon amour, ce qui devrait me rendre heureux, mais le contraire se produit, une grande tristesse s’abat sur moi. Assis sur le canapé, la tête entre mes mains, je pleure à chaudes larmes. Une petite voix intérieure me dit : ressaisis-toi Frédéric, au lieu de pleurer sur ton sort. Elle te verrait dans cet état, bonjour la honte. Une seule chose à faire, sortir. Au plus vite changer d’air, se vider la tête. J’enfourche mon vélo. Se faire mal aux jambes, souffrir physiquement pour atténuer la séparation.
    
    Après cet effort physique, je rentre chez moi complètement lessivé, et après une bonne douche, je m’assoupis sur le canapé.
    
    Une longue période de solitude va s’ouvrir pour nous deux. Sortant très peu, mon temps est accaparé par mon travail et de longues sorties à vélo. Durant cette période, nos allons tous deux nous poser beaucoup de questions sur notre avenir, traversant des périodes de doute, et d’autres d’euphorie.
    
    Une fois par mois, à tour de rôle, ...
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