Journal d'une femme adultère (3)
Datte: 22/06/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
Suite des aventures adultérines de Véronique, bourgeoise quadragénaire aux formes pleines, qui s'est entichée d'une sorte de faune supérieurement monté, telle Lady Chatterley et son jardinier.
Jeudi
Mon mari est parti aux Etats-Unis pour quinze jours. J'ai donc tout le loisir de satisfaire mes pulsions sexuelles dynamitées par ce gros cochon de Damien, mon amant depuis deux semaines. Il me fait découvrir des trucs insensés et ce n'est pas fini. Je ne m'appartiens plus vraiment. Je pense sans arrêt à sa queue. J'ai beau me dire qu'il faut que je me reprenne car j'ai aussi mon rôle de mère et d'épouse à assumer, rien à faire. J'ai un grand vide au fond du bide qui me tient jusque dans mon lit solitaire. Et justement, cet après-midi, à l'heure où tout le monde est encore au boulot, Damien m'attend dans un hôtel de la périphérie. Je m'y pointe discrètement. J'ai mis une perruque blonde et des lunettes noires, des fois que je croiserais une tête connue. Je demande à la réception si M.X. est bien arrivé, la bouche sèche de honte et la voix tremblotante. On me dit que oui, numéro tant, comme si c'était tout naturel. Tu parles. Ils doivent avoir l'habitude ici de ce genre de rendez-vous diurne. Je fonce sans demander mon reste, je frappe et Damien m'ouvre. Nu. Complètement à poil. Il m'enlace et je fonds aussitôt, vire la perruque et les lunettes, mon pantalon et mon slip, mon top et mon soutif. Je suis moi aussi entièrement à poil. Damien me considère, me tourne et me retourne ...
... et me sors :
- Tu as le corps d'une ministre aux cheveux longs dont j'ai oublié le nom et qui passe souvent à la télé.
Je vois de qui il veut parler et je ne sais trop comment je dois le prendre. Mais comme il plonge son nez dans ma touffe, j'oublie l'allusion pour me concentrer sur sa langue. Je le guide :
- Un peu plus haut, sur le clito, là, comme ça, oui, c'est bon, enfonce la maintenant, mmmmhhh...
Je progresse. Je parle en baisant. Il me lape si bien que je l'implore "de me la mettre". Il m'installe à quatre pattes en travers du lit, face à la penderie où trône un grand miroir. Cochons d'hôteliers ! Cela me fait drôle de me voir à poil dans cette posture, mes gros nichons entre mes bras et lui derrière en train de viser sa cible. Encore plus drôle de me voir en proie au plaisir de la pénétration, bouche ouverte et yeux écarquillés. Nos peaux claquent, mes seins gigotent comme deux outres pleines. Je me lèche les lèvres. Je le regarde dans la glace concentré sur son oeuvre. Je le trouve beau dans l'amour et je commence déjà à jouir. Je me demande si les chambres voisines sont occupées car je me mets à bramer. Mais il se retire et m'impose un changement de position.
Toujours face au miroir, je me retrouve sur lui en train de le chevaucher. Je ne le vois plus mais je me vois. Je me penche vers l'arrière, les bras posés sur le lit et je regarde, fascinée, sa bite entrer et sortir de ma chatte poilue. Qu'elle est longue, qu'elle est grosse, qu'elle me remplit ...