Apprentissage - Histoires de Sexe

Apprentissage

... mot.

— Tu vas le mettre, Anne !

Elle hésite. Toujours à genoux, elle écarte ses jambes, passe sa main avec le rosebud entre ses jambes, regardant Jacques dans les yeux… Elle pousse le rosebud sur son anus, le sent lui ouvrir à nouveau son cul, puis se refermer sur la tige. Il est en elle, lourd pesant, sur ses muscles anaux. Elle se remet docilement à genoux, ouvrant encore plus les jambes sous l’influence de ce poids en elle. Ses seins sont lourds, encore tendus. Les deux hommes peuvent la voir ainsi, indécente, sexe ouvert, même s’il n’a pas été pris.

— Regardez, Jacques, je vous l’avais dit, elle est encore toute humide, en attente de plaisir. Écarte tes lèvres Anne, avec tes doigts. Étire bien tes petites lèvres.

Elle obéit.

— Tu te masturbes souvent n’est ce pas, depuis que Jacques ne s’occupe plus assez de toi ?
— Oui, Monsieur.
— Et je suis sûr qu’elle n’a jamais voulu se caresser devant vous.

Jacques acquiesce.

— En effet, elle a toujours refusé de m’obéir ainsi, de se masturber au moins. Comme elle s’était toujours refusée à m’offrir ses reins.
— Anne, qu’attends-tu, caresse-toi !

L’ordre cingle. Elle repasse sa main entres ses jambes, commence à passer ses doigts sur sa fente humide et béante… Elle touche le rosebud, remonte ensuite vers son clito, passe deux doigts dans sa chatte béante, sent la tête du rosebud avec ses doigts. Très vite elle n’en peut plus.

— Puis-je jouir une nouvelle foi, Monsieur ? demande-t-elle dans un ...

... souffle.
— Non Anne, pas encore. Pas si vite, tu ne le mérites pas.

Disant cela, il se lève, se met derrière Anne et la force à mettre tête à terre tout en continuant à se caresser, à lever ensuite ses fesses vers lui… Elle est complètement ouverte, trempée… Il saisit l’extrémité du rosebud et commence à le sortir alors et à la branler analement ainsi…

— Pitié, gémit Anne.
— Jouis maintenant.

Et une nouvelle claque résonne sur ses fesses pendant qu’Anne s’écroule épuisée de jouissance, dans un long feulement.

Jacques semble presque effaré de la voir ainsi, mais il devine aussi qu’elle n’attendait que cela. Jamais il n’avait osé la traiter comme cela, mais des fois, elle lui avait suggéré son attirance pour l’obéissance…

— Bien, désormais Anne, tu devras m’obéir en tout point, y es tu prête ?
— Oui, Monsieur.
— Jacques, bien entendu, veillera à cela sous ma direction. Demain, je t’appellerai. Bien sûr désormais, je te veux toujours disponible, tu le comprendras. Robe ou jupe uniquement et plus de collants ni de culotte, sauf exception !
— Oui, Monsieur… et pour le sport ? Mes règles ?
— Tu me le demanderas et nous aviserons. Nous allons monter te coucher maintenant. Montre-moi le chemin jusque ta chambre.

Ils se lèvent et elle les devance. Arrivée à la chambre, elle voit sur le lit des menottes.

— À genoux sur le lit Anne et montre-moi tes fesses !

Elle obéit. Il saisit le plug et le ressort de son fondement sans ménagement.

— Présente-moi tes poignets, ...