1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°981)


    Datte: 22/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... Marquis d’Evans prit alors la verge d’Oliver et la mise en place de la cage prit trois minutes. Une fois l’installation terminée, elle indiqua à son Hôte :
    
    - Cher Marquis, Cher ami, maintenant ce soumis va comprendre qu’il ne bandera que lorsqu’il en sera autorisé, vous vous souvenez de ce mâle soumis arrogant qui bandait sous nos coups comme un âne et qu’on a contraint pendant plus d’un mois à porter une cage. Sa nouille à la fin était tout petit, il bandait mou même !...
    
    Olivier compris que son sort était peut-être de perdre tout signe de virilité, de devenir une lopette mâle en devenir. Une chienne à dresser, à soumettre aux caprices des Maîtres et Dominas, une lopette obéissante aux ordres de Monsieur le Marquis d’Evans. Mais la Domina continua son discours :
    
    - Venez tous voir comment ce chien est appareillé ! S’exclama-t-elle à l’assemblée !
    
    A tour de rôle les membres présents s’approchèrent, les regards hautains et moqueurs de cette noble assemblée se posèrent sur les génitaux d’Olivier. Il n‘était plus qu’un chien castré par cette appareillage, les Maîtres et Dominas allaient maintenant lui montrer que d’essayer de bander avec une cage était extrêmement douloureux. La deuxième Domina demanda à la soumise de s’approcher, l’ordre lui fut donner de faire bander Olivier. Véronique était bien entendu dénudée, les tétons de sa poitrine saillaient. Elle s’appuya sur le dos d’Olivier, le frottement de ses seins puis le mouvement de ses douces mains baladeuses et ...
    ... sensuelles sur le ventre d’Olivier dans l’intérieur de ses cuisses excitait le soumis. Elle effectua ces gestes avec douceur, comme seules les femmes savent le faire. Olivier avait eu peu d’expériences avec les femmes et ses sens reprirent le dessus, le sang reflua vers sa verge sauf que le sexe était emprisonné par la cage, la verge remplit rapidement la paroi métallique. Olivier sentait le sang arriver mais sa queue devint tout d’un coup douloureuse, l’érection ne se faisait pas comme il le fallait, il grimaçait de douleur découvrant de nouvelles sensations qui l’excitaient encore plus mais toujours sans pouvoir laisser exprimer une bandaison impossible.
    
    C’est à ce moment-là qu’un ami du Noble s’approcha sexe en main :
    
    - Aller, ma petite pute, tu vas voir que tout cela va te soulager, à genoux et viens sucer ma grosse queue majestueuse, montre-moi que tu aimes la bite, surtout celle des gens de ma position…
    
    Olivier obéit et c’est à genou qu’il reçut en bouche ce sexe gonflé et tendu de désirs alors que le sien était recroquevillé, confiné et contraint dans la cage par obligation, mais il s’appliquait à penser uniquement à la tâche qu’on lui réclamait. Il suça avec application, sa langue parcourant la veine du chibre, sa salive permettant au vit de s’introduire plus en avant dans la gorge. Sa bouche était la représentation d’un vagin féminin, accueillante, chaude et humide ainsi il se donnait à fond dans le bût de procurer le maximum de plaisirs à l’homme Dominateur, ...