1. Un dîner entre amis


    Datte: 21/06/2019, Catégories: fh, ff, fhh, ffh, fhhh, grp, fbi, couleurs, religion, grossexe, grosseins, fépilée, fête, fsoumise, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, entreseins, facial, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, historiqu, Auteur: Ben, Source: Revebebe

    ... écarte ensuite légèrement les cuisses et avance son bassin pour lui faire admirer sa vulve. Le Cardinal se recule un peu, et prend à témoin sa voisine, la Comtesse de la Fosse :
    
    — Regardez, Béatrice, avez-vous jamais vu tel spectacle ? Il paraît qu’en Afrique, l’étirement des lèvres intimes fait partie des rituels dans certaines tribus.
    — C’est fascinant, je l’avoue, et extrêmement excitant, ces lèvres surdimensionnées dont la couleur rose tranche sur la peau sombre. Est-ce que c’est douloureux ?
    — Non, l’étirement se fait progressivement et sans douleur. Au contraire, cela développe une sensibilité extrême au niveau de la vulve, qui rend la femme en perpétuel état d’excitation aussitôt qu’on tire sur les chaînettes. Elle vient sans doute d’accrocher les poids, et c’est cela qui l’a poussée à déposer son plateau et à s’offrir à nos caresses.
    — Est-ce que je peux toucher ?
    — Bien sûr, essayez, c’est très excitant.
    
    La Comtesse se penche devant le cardinal et tend le bras vers l’entrejambe de la négresse. Ce faisant, et comme si cela était voulu, elle presse sa poitrine opulente contre le torse du prélat, tout en s’accrochant à son épaule d’une main caressante. La servante excitée avance encore un peu plus le pubis et écarte encore davantage ses cuisses. La Comtesse tire sur une des chaînettes, étirant sans hésiter la peau. Elle arrache un gémissement de plaisir à la femme, qui se masse les seins de plus belle en fermant les yeux. Béatrice est fascinée par cette ...
    ... vulve humide dont la forte odeur se mêle maintenant à celles des huîtres déposées sur la table. Elle ne peut s’empêcher d’enfoncer son majeur dans la fente poisseuse, de toucher les lèvres, de les écarter pour révéler un gros clitoris dressé. À côté d’elle, le Comte, qui ne rate rien du spectacle et semble prendre plaisir à voir sa femme se frotter contre le Cardinal, attire l’attention de Caroline sur l’élégance de la croupe de la Comtesse, qui leur tourne le dos en cambrant les reins. Il soulève la fine robe de son épouse et lui flatte les fesses. Avec délectation il écarte les globes pour montrer à Caroline combien elle mouille.
    
    En face d’eux, le Prince, tirant sur l’anneau qui orne le téton gauche de la seconde servante, l’oblige à se pencher vers lui. Elle est très belle : ses grands yeux noirs humides, son petit nez percé par l’anneau, ses pommettes saillantes, ses grosses lèvres sensuelles donnent à son visage un attrait très animal. Le Prince l’embrasse à pleine bouche, tout en souriant à sa femme. La négresse lui rend son baiser dardant une petite langue pointue. Elle tourne le dos à la Marquise de O, lui offrant la vue de son petit cul rond. La Marquise ne peut résister, et glisse sa main entre ses cuisses tout en s’exclamant :
    
    — Mon Prince, cette servante a son petit trou vraiment très serré. Je jalouse le premier homme qui va la prendre par ici.
    — Marquise, votre goût pour les femmes vous perdra. Prendrez-vous donc plaisir à me voir l’embrocher ?
    
    D’où elle ...
«1...345...15»