1. Les 1001 perversions de Nathalie (10) - Les retrouvailles de deux chattes


    Datte: 21/06/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Egrewam, Source: Hds

    ... faire, les doigts de l'homme glissent le long de sa fente gluante, écartent l’entrée de la vulve, pénètrent dedans, la soulevant presque de terre. Il souffle, la tête dans son cou, le nez dans ses cheveux.
    
    Il la saisit par la taille et la soulève pour la poser les fesses sur le rebord du lavabo. Il se penche entre ses cuisses, colle sa bouche contre la vulve et la suce, sa langue écartant les grandes lèvres, remontant le long de la fente pour arriver à son clitoris qu’il aspire, le nez dans ses poils.
    
    Il la fait vagir, il la suce si bien ! Les jambes en l’air, elle prend appui sur le bord de l’évier, cambrée pour ne pas se faire mal en heurtant le robinet. Avec ses pouces, il écarte ses fesses, plus bas que sa raie, pour passer sa langue sur son anus.
    
    - Tu sens bon, cochonne… J’aime l’odeur de ton cul...
    
    D’une main, elle se lâche et se triture les mamelles. Elles sont tendues, lui font mal tellement elles gonflent. L'homme bave entre ses cuisses. Elle penche la tête pour regarder sa langue la sucer, la laper sans retenue.
    
    Elle voit qu’il est à genoux et a sorti sa queue, pour se masturber. Il se serre le membre, tire le prépuce, le gland cramoisi suinte.
    
    Il se redresse, la bite à la main et passe le gland contre son trou. Elle ne tient plus, il faut qu’il la pénètre, vite, fort. C’est elle qui lui attrape la bite et se l'enfonce dans le con…
    
    Elle est en nage, la sueur lui coule sur le corps. Elle sent l’odeur de sa chatte, de son cul, ça l’excite encore ...
    ... plus. Au milieu de ses poils, entre ses cuisses, le manche de chair va et vient comme une bielle, tapant au fond de son vagin. Elle jouit, s'agrippe aux épaules de l'homme pour ne pas tomber. Il grogne :
    
    - Je vais gicler !
    
    Il retire sa queue et la saisit d'une main, visant le ventre de Nathalie, ses poils, sa chatte. Son jus part en jets drus et puissants, l’éclabousse, se répand sur elle.
    
    Elle se laisse choir sur la lunette des W.C., et elle reste ainsi, relevant sa robe, regardant l'homme rentrer sa bite gluante dans son pantalon. Il se rajuste. En quittant les lieux, il glisse quelques mots à l'oreille de Marc, spectateur de la scène.
    
    Toujours assise sur la lunette, elle est obscène, sa robe relevée, dégoulinante de sperme qui coule jusque dans la raie de son cul.
    
    Marc s'approche :
    
    - Vous êtes une adorable salope... Pissez ! Les vraies salopes, ça pisse après avoir joui !
    
    Et elle le fait, à grands jets qui éclaboussent la cuvette. Quand la source est tarie, elle le dévisage. Elle devine ce qu'il veut entendre, elle jouit presque en s'entendant lui murmurer :
    
    - Essuyez-moi… S'il vous plaît.
    
    Longuement, du plat de la langue, il l'essuie, lape le sperme mélangé à sa pisse. Elle se met à geindre, elle se cabre.
    
    Il la relève, la retourne. Il sort sa queue de son pantalon. Elle lui tend son cul, s'écarte les fesses. Elle est salope, elle transpire de désir. Elle se cambre, elle veut qu'il la remplisse, elle veut que ça soit fort, sauvage, bestial, ...