La bourgeoise et le marabout (32)
Datte: 04/03/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... un moment, je remarque qu’il fait un petit signe vers l’écran comme s’il appelait quelqu’un, mais je n’y prête pas attention.
Il m’attire de nouveau sur le lit, sa langue investit ma bouche et il continue à me donner de grands coups de bas-ventre. Soudain, je sens que la porte de la cabine s’ouvre dans mon dos, mais il m’est impossible de regarder, car sa main s’est emparée à nouveau de mes cheveux. Soudain, d’un geste brusque, Nazir retire le rosebud et me dit de le prendre en bouche. Je m’exécute et c’est alors qu’une énorme queue m’encule d’un coup sec, tandis que Nazir continue à me baiser sans ménagement. Il me dit :
— Alors ma belle salope, on a maintenant ses trois orifices d’occupés ! Je suis certain que le gérant est ravi de profiter d’une aussi belle chienne.
La bouche occupée, je ne peux pas répondre, mais c’est donc le vieux bedonnant qui est monté comme un âne et m’encule si fort. Il répond à Nazir :
— Je vous matais depuis le début grâce aux différentes caméras installées un peu partout. Cette bourgeoise m’a excité dès qu’elle est entrée dans ma boutique. C’est sympa de m’inviter à en profiter.
Ainsi saillie par ces deux mâles, je prends un super pied et j’ondule de partout pour mieux les sentir en moi.
Nazir dit alors :
— Nous allons bien nous vider dans cette salope et ainsi la souiller de tout notre foutre. Profitons-en, de toute façon, elle ne peut rien dire !
Le ...
... vieux ajoute à mon intention :
— Tu me snobais quand tu es entrée et tu as dû me trouver bien trop moche pour toi. Tu fais moins la fière maintenant. Je ne baise plus depuis longtemps et je me suis pas branlé depuis au moins trois semaines, tu vas prendre une sacrée dose de jus.
Soudain, c’est comme si deux geysers se déversaient en moi. Nazir me mordille les tétons tout en se répandant dans ma chatte. Le vieux pervers, m’agrippant fermement par les hanches, se déverse dans mon cul. Mais bien vite, ils se retirent tous les deux de mes orifices et viennent répandre leurs dernières gouttes de foutre sur mon front. J’ai toujours le rosebud en bouche, et tranquillement, ils étalent leur jus sur tout mon visage avec leur gland. Je suis leur pute jusqu’au bout.
Cinq minutes plus tard, Nazir me raccompagne jusqu’à la porte de la boutique, me fait le baise-main et me dit :
— J’ai été ravie de cette rencontre Hélène. Je ne crois pas avoir rencontré une bourgeoise aussi chienne que vous.
Je lui réponds :
— Tout le plaisir a été pour moi et encore merci pour les deux petits cadeaux.
Avant que je franchisse le pas de la boutique, le gérant ajoute :
— Revenez quand vous le souhaitez. Il y aura bientôt des promos sur certains articles et il y aura bien quelques hommes pour satisfaire une chienne comme vous.
Je souris intérieurement et me dis que cela n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde...