1. La Saint Valentin


    Datte: 21/06/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Lipa94, Source: Hds

    ... pétrissant sans ménagement le cul superbe.
    
    La première tape la fit se cabrer et par réflexe elle mit ses mains sur les fesses cherchant à se protéger
    
    - Remet toi en position et vite.
    
    Elle se remit contre le mur s’offrant aux claques qui maintenant tombaient sans répit sur ses fesses
    
    - Ton gros cul devient rouge, retires ta culotte.
    
    Et les coups reprirent, elle se mordait les lèvres pour ne pas crier mais chaque tape faisait bouger son corps la rendant encore plus désirable.
    
    Le mari se caressait le sexe au travers de son pantalon, il avait du mal à respirer.
    
    Pierre prit une cravache et la promena le long du corps de celle qui n’était plus que son esclave.
    
    - Tu vas compter chaque coup et à chaque fois tu remercieras.
    
    - Oui monsieur.
    
    Le premier coup cingla les fesses, elle essaya de se dérober mais se reprit et resta en place.
    
    - Un, Merci monsieur.
    
    - Deux, merci monsieur ……
    
    Et ainsi de suite jusqu'à une trentaine de coups, les fesses et le dos étaient zébrés de longues traînées rouges.
    
    Elle sanglotait, mais ne cherchait plus à échapper à la punition acceptant son sort avec docilité.
    
    - Tournes toi maintenant, retire ton soutient gorge et met les mains dans le dos.
    
    Les deux seins libérés étaient lourds et fermes, elle s’appuya contre le mur et repris son souffle, fixant son bourreau avec anxiété.
    
    - Tu dois baisser la tête et ne pas me regarder.
    
    Et il lui cravacha les seins d’un coup sec.
    
    Elle mit les mains sur la chair ...
    ... fragile mais très vite elle les replaça dans le dos bombant le torse.
    
    Les deux globes tremblaient au rythme des petits coups secs et rapides.
    
    Il la fit à nouveau compter et remercier et elle s ‘abandonna totalement.
    
    Le mari était fasciné il ne se gênait plus pour se caressait ouvertement d’ailleurs il n’existait plus ni pour Pierre, ni pour son épouse qui maintenant n’était plus rien qu’une femme qui s’offrait sans pudeur.
    
    Les coups cessèrent, son corps était marqué des fines zébrures, elle tremblait, avait du mal à retenir ses sanglots.
    
    Le mari faillit se lever, la prendre dans ses bras, lui offrir un peu de douceur, l’emmener loin de son bourreau.
    
    Mais celui-ci prit la parole.
    
    - Tu as été très courageuse et endurante, si tu le veux nous arrêtons.
    
    - Non Monsieur je veux continuer.
    
    Le mari était surpris par l’attitude de sa femme mais quelque part il éprouvait de la fierté.
    
    Alors Pierre se pencha vers une corbeille posée à même le sol et se redressa en tenant une dizaine de pinces à linges.
    
    Il commença à masser les seins endoloris par la cravache et posa les pinces sur les tétons et autour formant une couronne sur la poitrine de son esclave.
    
    De sa position, le mari pouvait voir le rictus qui figeait le visage de son épouse mais celle-ci ne faisait aucun mouvement pour échapper à la morsure des pinces.
    
    Pierre s’éloigna et vint s’asseoir à côté du mari, elle était là nue les mains croisées dans le dos jambes écartées, dos au mur, la poitrine ...
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