1. Carolyn rougit


    Datte: 21/06/2019, Catégories: Masturbation Première fois Auteur: GrosseBite8313, Source: xHamster

    ... souffle.
    
    — S’il te plaît, tu vas me faire… ajouta-t-elle.
    
    Elle tenta de glisser contre le mur, se tortilla pour échapper à mes doigts.
    
    — Que veux-tu ?murmurai-je à son oreille, la guidant avec main pour qu’elle me caresse plus vite.
    
    —Si… près du but…. Elle semblait vraiment le vouloir son orgasme, mais elle luttait pour ne pas crier.
    
    Je glissai un doigt en elle. Elle était si étroite, et j’avais de si gros doigts que je crus que je ne pourrais jamais en introduire un deuxième. C’était un charmant spectacle. Elle prit peur quand elle se mit à jouir. Je la doigtai tout en caressant son clito du bout du pouce ; elle mit ses mains à la bouche afin d’étouffer ses cris.
    
    Dès qu’elle eut joui, elle sortit en trombe de ma chambre, et s’enferma dans la salle de bain. Je bandais dur. Je bandais et je voulais baiser.
    
    Tom frappa à la porte de la salle de bain.
    
    —Ça va ? lui demanda-t-il.
    
    Je me ressaisis, enfilai un bas de jogging et ouvris la porte.
    
    — Qu’est ce qui se passe ?
    
    Tom semblait ennuyé.
    
    — Ça fait longtemps qu’elle est là-dedans.
    
    Je hochai de la tête en signe de soutien.
    
    —Carolyn, ça va ? insista-t-il.
    
    — Oui, oui… j’ai juste un peu mal au ventre. On aurait dit qu’elle pleurait.
    
    Tom avait l’air très inquiet.
    
    — Tu devrais peut-être aller lui chercher des médicaments à la pharmacie, proposai-je sur un ton attentionné.
    
    Tom trouva que c’était une bonne idée.
    
    —Veux-tu que j’aille à la pharmacie acheter des médicaments pour ton ...
    ... ventre?
    
    Silence.
    
    — Je…, ça va.
    
    Je serrai les dents.
    
    —Carolyn, je pense vraiment que c’est une bonne idée, renchéris-je d’une voix assurée. Tom me regarda un peu bizarrement.
    
    Silence, à nouveau.
    
    — Oh… d’accord…, dit-elle docilement. Cette fois-ci, il n’y avait plus de doute. Elle pleurait.
    
    Tom sourit, soulagé de pouvoir se rendre utile. Je l’encourageai d’une tape dans le dos.
    
    Une fois la porte d’entrée fermée, je frappai à la porte de la salle de bain.
    
    — Ouvre la porte maintenant, dis-je lentement, mais d’un ton déterminé.
    
    Je l’entendis renifler derrière la porte.
    
    — Je… je ne devrais pas. J’aime Tom, je ne veux pas le trom…
    
    J’écumais. — Ouvre la porte, immédiatement. Ne me force pas à te le redemander.
    
    Il y eut un sanglot, un reniflement, puis le bruit de la serrure et la porte qui s’ouvre.
    
    Elle ne ressemblait pas à grand-chose, la queue de cheval défaite, le maquillage coulant sur ses joues. J’avais la gaule. Une énorme gaule. Elle fixait piteusement le sol. Je la retournai de telle sorte qu’elle se retrouva en appui face au lavabo. Je remontai sa jupe sur ses hanches.
    
    — Je… ne veux pas le tromper, dit-elle sans me regarder.
    
    Elle portait une culotte de coton blanche à fleurs. J’en attrapai un bout, tirai dessus puis déchirai la culotte.
    
    — Alors dis-moi non, salope.
    
    J’ouvris ma braguette et baissai mon pantalon pour sortir ma bite.
    
    — Tu ne devrais pas, murmura-t-elle.
    
    Je lui frappai les fesses.
    
    Elle était un peu trop ...
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