Carolyn rougit
Datte: 21/06/2019,
Catégories:
Masturbation
Première fois
Auteur: GrosseBite8313, Source: xHamster
... genoux et un chemisier. Elle portait également un gilet, mais elle le retira lorsque je montai le chauffage. Elle avait attaché ses cheveux en queue de cheval et avait mis du gloss rose sur ses lèvres boudeuses.
A peine fut il sorti que je me jetai sur elle, l’embrassant à pleine bouche. Elle tenta de me repousser, mais elle n’avait pas beaucoup de force. Je l’embrassai, ses lèvres avaient un goût de vanille. Je bandais. J’essayai de forcer le passage de sa bouche pour y introduire ma langue, mais elle maintint les dents serrées. J’appuyai alors violemment sur ses seins pour qu’elle s’allonge sur le canapé. Elle geignit lorsque je déboutonnai les premiers boutons de son chemisier et passai mes mains dessous. Elle prit fermement ma main, dans une vaine tentative de la retirer, sans jamais lâcher un mot de protestation.
Je regardai ma montre et me fixai une limite de quinze minutes. Je savais que devais lui laisser du temps pour se rhabiller mais j’étais déterminé à prendre mon plaisir avant le retour de Tom.
Je fis courir mes doigts le long de ses jambes, puis relevai sa jupe. Elle écarquilla les yeux de frayeur et tenta d’articuler quelque chose, mais aucun mot ne sortit de sa bouche. Elle avait l’air effrayé. Cela m’excita encore plus.
Ces jambes étaient blanches et douces et je tentai de me frayer un passage entre ses cuisses qu’elle maintenait désespérément fermées. En vain. J’étais énervé de ne pas parvenir à mes fins. Je pressai mes mains plus fort sur ses ...
... genoux, elle se tortilla pour m’échapper, mais elle ne put résister plus longtemps et je parvins aisément à ouvrir ses jambes. Elle tenta de les refermer, mais je la poussai à la renverse sur le canapé, les jambes en l’air et lui donnai une grosse fessée.
Les événements prenaient une tournure intéressante. Je la sentais tendue, mais ses jambes fléchissaient. Je la fessai encore pour qu’elle comprenne bien qu’elle était ma chose. Puis je glissai ma main entre ses cuisses.
— Bien, bien, bien, dis-je avec un sourire carnassier.
— C’est très intéressant tout ça. On dirait bien que notre petite sainte-nitouche est trempée. Je sentais sa culotte mouillée et l’écartai pour découvrir sa petite chatte rose, couverte d’une fine toison brune.
—Je me disais bien que tu étais une vraie salope, en fait, ajoutai-je en introduisant un doigt dans sa moiteur et en l’observant se débattre et gémir. Lorsque je glissai un doigt, elle saisit ma main, mais j’attrapai ses deux poignets d’une main et maintins mon étreinte afin qu’elle ne me gêne plus.
Je regardai ma montre. Je n’avais plus beaucoup de temps. Je la doigtai à nouveau et n’avais qu’une idée en tête : la baiser. Je n’en doutais plus, c’était une grosse chaudasse qui aimait être forcée et j’allais la prendre. Ce n’était plus qu’une question de temps.
Je glissai mes doigts mouillés dans sa fente, et caressai doucement son clito. Elle ferma les yeux et se cambra.
— C’est ça, fais-toi plaisir salope. Tu veux que je te ...