1. Un adorable piège


    Datte: 21/06/2019, Catégories: fffh, jeunes, inconnu, volupté, strip, Voyeur / Exhib / Nudisme fdomine, conte, Auteur: Askilor, Source: Revebebe

    ... avec leur sourire taquin qui ne laissait aucun doute, il était évident que j’allais me mettre nu devant Émilie et devant elles ! Totalement prises par le jeu, elles ne voyaient plus comment je pourrais leur résister. J’avais le cœur qui battait la chamade, j’étais pris au piège, mais quel adorable piège je dois vous l’avouer. Sentant alors le regard d’Émilie sur moi, en me tournant vers elle, j’ai croisé son regard, il y avait un mélange de gêne et d’excitation, mais c’est surtout beaucoup d’excitation qui semblait l’envahir. Et puis aussi, je ne rêvais pas, les yeux d’Émilie semblaient même un peu supplier et j’eus l’impression de l’entendre penser : « Vas-y, montre-moi, oh oui laisse-moi voir ton sexe, mets-toi debout et montre-moi… »
    
    Nous étions les yeux dans les yeux Émilie et moi, elle tournait ses fesses sur le divan, ne sachant plus comment s’asseoir, les trois autres filles retenaient leur souffle.
    
    N’osant toujours dire un mot, de peur que ma voix ne trahisse mon désir, car je sentais leur excitation qui m’envahissait aussi. J’étais entièrement submergé par un flot de chatouilles, qui avaient envahi mon sexe puis mes couilles. J’avais d’abord senti ma bite s’amollir et s’allonger, me donnant l’impression de fondre et de ne plus pouvoir retenir cette très forte impression de pipi qui chatouillait dans mon sexe. Puis j’ai senti celui-ci gonfler et durcir, ce fut d’abord une agréable sensation de gonflement, puis la sensation de tensions quand il s’est mis à ...
    ... durcir. Là il commença à me gêner dans le slip qui devenait trop serré, me donnant une irrésistible envie de mettre les doigts dans la culotte pour dégager ma bite et mes couilles.
    
    Mes couilles étaient maintenant intenables sous un torrent de chatouilles, qui se répandait jusqu’entre les fesses, pour envahir aussi mon anus. Alors que je résistais encore à glisser ma main vers mon sexe. Je m’imaginais me mettre nu devant les filles. J’ai croisé à nouveau le regard de Vanessa et je me sentis gêné face à mon amie, mais celle-ci semblait s’être prise au jeu et avait les yeux brillants. Comme la petite Émilie, avec son regard où brillait l’excitation de la découverte, et, je dois l’avouer, l’idée de descendre mon pantalon devant elle m’excitait. Et puis il y avait ces deux filles fort délurées, qui ne s’arrêteraient plus maintenant. Je me sentais comme quand on vous tire sur une piste de danse, avec cette impression que l’on allait casser l’ambiance autrement.
    
    Maintenant mon sexe et mes couilles me gênaient trop, je ne pourrais résister plus longtemps à l’envie de les dégager de la gêne intenable que j’avais dans la culotte. Alors en commençant par tirer avec les deux mains sur le tissu du jean, je me rendis tout de suite compte que faire ça, de manière très peu discrète, ne servirait à rien. Que déjà Sophie ne pouvait rater ça :
    
    — Waaaw, dit-elle, c’est qu’il bande.
    
    Suivie par Sandra :
    
    — Son sexe ne demande qu’à sortir.
    
    Ma bite et surtout mes couilles, me gênaient ...
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