à la découverte de ma tante 1
Datte: 21/06/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Première fois
Mature,
Auteur: sensualites, Source: xHamster
... maintenant éloignée. La jolie femme gracile, en robe d’été, apparut avec la même beauté délicate et légère qui m’avait bouleversé dès le premier jour. On aurait pu croire qu’elle sortait de la messe, tant elle respirait la fraîcheur et l’innocence. Sa robe claire était immaculée, sans un faux pli, et j’en conclus qu’elle avait fait l’amour entièrement nue. Sans ce brin de paille accroché à la bretelle de sa robe derrière son épaule, j’aurais pu penser avoir tout imaginé.
Il a fallu un certain temps avant que je ne reprenne mes esprits et que je me remette à ma course, car j’avais les jambes coupées. En me plongeant dans l’eau du lac, je parvins à peine à me rafraîchir les idées. Ma tante trompait mon oncle avec une réelle gourmandise. Pourquoi n’aurais-je pas ma chance, moi qui physiquement avait bien d’autres attraits qui ce vieux jardinier mal dégrossi !
Après un restant de journée tranquille où je m’étais endormi avec un bouquin près de la piscine, j’eus le plaisir d’être réveillé par la plus charmante apparition. Elle était étendue sur un transat à mes côtés, prenant un bain de soleil. Je ne l’avais pas entendue venir. C’est la douce effluve de son parfum qui me tira du sommeil en caressant mes narines. Elle me gratifia d’un joli sourire.
• — J’ai vu que tu dormais profondément… j’espère que ce n’est pas moi qui t’ai réveillé ?
En vérité, je n’avais pas l’impression d’être réveillé, mais plutôt d’être plongé dans le plus ravissant des rêves. Ma tante était ...
... étendue à quelques centimètres de moi. Son maillot deux-pièces me révélait d’autres parcelles de sa superbe anatomie. Des cuisses délicieusement effilées mais fermes, des hanches à la courbure féminine sans excès. Un ventre plat et tendu, couronné d’un délicat nombril. Mais le plus beau spectacle, c’était sans doute de suivre le parcours de cette goutte de sueur, perlant sur sa tempe, puis glissant jusqu’à sa nuque, son épaule, son sein. En observant le plus discrètement possible cette goutte se lover finalement dans le sillon de sa poitrine, mon regard s’arrêta alors fasciné par le spectacle de ses mamelons tendus sous l’étoffe. Peut-être, alors qu’elle fermait les yeux, la bouche légèrement ouverte, se remémorait-elle cet instant où elle abandonnait comme une offrande, cette portion de sa chair délicieuse et sensible à la bouche vorace de son jardinier ?
J’aurais voulu tendre ma main, bien sûr, la caresser, embrasser ses seins moi-aussi, mais j’avais peur de tout gâcher de cet instant magique, et surtout de devoir interrompre mon excitant séjour par un acte inconsidéré. Je fis le choix de me baigner à nouveau pour dissimuler l’émotion qui commençait à darder sous mon slip. Quand je ressortis de l’eau, elle avait disparu.
Et puis très vite, ça a été le retour de Jean-Pierre. Je dois avouer que le baiser appuyé qu’il a échangé avec ma tante m’a troublé autrement que la première fois. J’imaginais celui qu’elle avait échangé quelques heures avant, avec son amant…
Puis, il ...