1. à la découverte de ma tante 1


    Datte: 21/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou Première fois Mature, Auteur: sensualites, Source: xHamster

    ... sommeil, quand un léger bruit me réveilla. Juste le temps de voir qu’il était plus d’une heure du matin. Un craquement du parquet me fit tressaillir, mais plus encore la sensation de « son odeur » qui parvint à mes narines. Je n’avais pas encore eu le temps de m’habituer à l’obscurité que je savais déjà que la silhouette qui s’avançait près de mon lit était celle de ma tante Anaïs. Sans attendre ma réaction elle se faufila sous ma couette et je pus me délecter de son odeur désormais prégnante et de la chaleur de son corps si près du mien.
    
    Le chuchotement que j’entendis de ses lèvres est le plus exquis que je n’aie jamais entendu :
    
    • — N’aie pas peur, j’avais envie d’être près de toi ! Je ne veux pas que tu partes !… Je ne peux pas me passer de toi !
    
    Je me disais que j’hallucinais, que j’étais en plein rêve, mais je fus rapidement ramené à la douce réalité. Elle avait blotti son joli petit corps contre le mien, seulement couverte d’une fine nuisette, et je sentais déjà la pression de ses petits seins fermes contre mon torse. Alors que j’entendais distinctement les ronflements de mon oncle de la chambre au fond du couloir, qui manifestait ainsi régulièrement sa plénitude béate après avoir joui de son épouse. J’entendis à nouveau sa si jolie voix qui tout doucement ne s’adressait qu’à moi :
    
    • — Tu peux allumer la lumière si tu veux. Rien ne peut réveiller Jean-Pierre quand il dort, et j’adore quand tu me regardes comme l’autre jour … et puis je veux aussi voir ...
    ... ton joli corps.
    
    J’étais aux anges, et après avoir hésité, par peur de me réveiller de ce doux rêve, j’allumai la lampe de chevet. Devant moi s’offrait le plus beau spectacle de ma vie, celui de ma tante qui venait de s’agenouiller en nuisette blanche et transparente, de son visage angélique qui me regardait fixement, de ses seins fièrement dressés à travers l’étoffe, de ses cuisse nues…
    
    • — Chut ! Ne dis rien…
    
    Elle posa son joli doigt sur ma bouche pour m’éviter de dire une banalité. Puis elle s’approcha de moi pour ce premier baiser, ce premier baiser sur mes lèvres.
    
    Très vite, je sentis la saveur exquise et chaude de sa langue contre ma langue. J’étais complètement envoûté par cette femme, que je croyais connaître d’après mes vagues souvenirs, mais qui se révélait chaque jour si troublement étonnante ! Elle s’est ensuite dégagée pour me murmurer à l’oreille :
    
    • — Laisse-moi faire et ne dis rien…
    
    Elle a alors penché son visage vers mon sexe qui était déjà bandé.
    
    • — Comme il est beau ! Je vais m’occuper de lui…
    
    Au garde-à-vous, ma verge n’avait rien à envier à celle du noir qui l’avait fait jouir. Elle commença par de petits baisers sur mon gland, bientôt agacé par ses petits coups de langue. Sans plus de cérémonie, elle l’engloutit dans sa bouche.
    
    Comment décrire ce qui ne peut pas l’être ? Elle était en train de m’offrir, la plus belle pipe que j’aie jamais connue. Elle était adorable avec le petit chignon qu’elle portait ce soir-là et que je ne ...