Mon nouveau voisin (3)
Datte: 20/06/2019,
Catégories:
Gay
Auteur: Nours.29, Source: Xstory
... pattes pour signifier que j’étais prête à recevoir des bites dans ma chatte. Ce qui ne tarda pas, rapidement une bite vint s’introduire entre mes fesses et commencer à me limer, tandis que dans ma bouche un jeune mâle prit l’initiative de me baiser la bouche. Après avoir juté, un peu trop rapidement à mon goût, dans mon cul, mon premier baiseur laissa sa place au jeune homme et une autre bite vint se mettre au chaud dans ma bouche. Le jeune était bien plus fougueux mais juta aussi rapidement, sans doute déjà bien excité par ma bouche. Les bites s’enchainent dans mes orifices, Francis en profita même pour revenir me remplir le cul.
Certains jouissaient dans mes trous, d’autres sur mon visage ou mon corps, au gré des différentes positions dans lesquelles il me prenait. Je me laissais faire, comme une bonne salope que j’étais, ivre de toutes ses bites à faire juter. Et puis, « il » arriva. Francis le connaissait et attendait sa venue car il le salua et lui dit qu’il arrivait un peu en retard. C’est un bel ours noir, bien rond mais moins poilu que Francis. Mais ce qui m’attira c’était son entrejambe, une belle bite bien épaisse, avec un beau gros gland au bout. Je la voulais, et après avoir vidé mes dernières bites, tous se retirèrent pour assister au spectacle qui allait arriver.
Je n’eus même pas le temps de le câliner ou l’embrasser, celui-là était un sauvage, un bestial, qui n’était pas là pour les câlins mais pour casser du cul. Ni une ni deux il m’impose de me mettre ...
... à quatre pattes, écarte mon cul et me rentre sa grosse queue dans ma chatte sans le moindre ménagement. Ce qui me fait pousser un gros hurlement, mais pas le temps de sentir la douleur de cette bite qui vient de m’élargir le cul, le voilà déjà en train de me ramoner avec ardeur tout en me faisant crier. Ses coups sont puissants et rapides, et c’est un putain de régal de sentir sa bite aller et venir dans mes entrailles. J’en deviens complètement folle, il n’y a plus la moindre douleur, juste le plaisir de cette baise brutal. J’en ai la bouche ouverte, la langue pendue et les yeux qui roulent comme une grosse chienne qui prend un pied incroyable avec un mâle en rut qui s’apprête à me féconder. Je n’oppose absolument aucune résistance, de toute façon je n’en ai pas la force, je me laisse simplement aller au rythme de ses coups de butoir. Jusqu’à le sentir s’enfoncer le plus loin possible, en me tirant par les bras, dans mon cul qui aussitôt est rempli par un liquide bien chaud en grande quantité. Le salop est en train de vider jusqu’à la dernière goutte ses couilles dans ma chatte en feu. J’en hurle de plaisir, comme une femelle. Et lorsqu’il retire son engin, j’ai l’impression qu’un torrent se déverse de mon trou béant.
Epuisé je m’écroule sur le sol, tandis que j’entends avec peine le mâle remercier Francis avant de repartir. Francis se penche alors vers moi et me demande si j’en ai assez. Je lui réponds que j’en veux encore, mais que je suis épuisé. Les autres mâles l’ont ...