Chambre d'étudiant
Datte: 20/06/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
portrait,
Auteur: P.R. de Montels, Source: Revebebe
... Le pubis, les lèvres vaginales qu’il sentait humides frottaient son sexe tandis que sa langue menait maintenant un ballet endiablé avec celle d’Anna.
Anna, qui avait pris sa décision sans trop se poser de questions, était bien décidée à se lâcher maintenant, quoi qu’il puisse arriver. Son bas-ventre la démangeait ; ses grandes lèvres, qu’elle sentait gonflées, étaient trempées de la mouille qui suintait de sa cavité vaginale. Saisissant la hampe raide de Jean-Pierre et soulevant son bassin, elle s’introduisit l’engin lentement pour ne perdre aucune sensation du bien-être que cet acte lui procurait. Une fois la queue bien enfoncée, son bassin commença à onduler. À mesure que ses ondulations s’accéléraient, la hampe de plus en plus grosse de son partenaire augmentait son plaisir. Quand elle arrivait au fond, son clitoris cognant sur le pubis de Jean-Pierre lui arrachait un gémissement de jouissance. Ses bouts-de-sein excités par le frottement contre la poitrine de Jean-Pierre étaient durs et devenus hypersensibles.
Jean-Pierre saisit ces deux gros boutons durs chacun entre deux doigts et y exerça des pressions qui augmentèrent encore le plaisir d’Anna. Arrêtant ses mouvements de bassin, à califourchon et toujours empalée sur le pieu de son partenaire, elle exerça des pressions de ses muscles vaginaux. Jean-Pierre sentit les fourmillements qui remontaient lentement de ses pieds, atteignaient ses jambes puis ses cuisses. Un énorme spasme s’empara de sa queue, de ses ...
... bourses, de ses testicules, et il se vida en un long jet dans le con d’Anna. Il eut comme un éblouissement tandis qu’il ne pouvait retenir un long cri puissant qui provoqua, à son tour, l’orgasme d’Anna qui sentit son vagin pris de contractions désordonnées et qu’une jouissance délicieuse envahissait tout son bas-ventre et tout son corps. Elle s’affaissa sur la poitrine de Jean-Pierre en un long gémissement.
Ils restèrent un long moment dans cette position, sans bouger, les yeux fermés. Au début pour continuer à jouir, dans leur corps comme dans leur esprit, du plaisir présent, mais un peu plus tard pour simplement retarder le moment du retour aux réalités. Chacun prenait lentement conscience de la nouvelle situation. Chacun se posait la question de la réaction de l’autre.« Trop loin, on arrête tout ? Trop bon, on continue ? Qui est réellement responsable de cette nouvelle situation ? »
En fait, chacun espérait en son for intérieur qu’une discussion de fond ne serait pas abordée. En conséquence, sans avoir échangé un mot ils rouvrirent les yeux ensemble, échangèrent un timide sourire et prononcèrent ensemble le mot « merci ». Cette coïncidence de pensée les fit rire et leurs bouches se soudèrent en un long baiser. Ce baiser prolongé ranima leur excitation, et le vagin d’Anna reprit ses pressions sur la queue devenue moins flasque qu’elle emprisonnait toujours en elle. Le traitement se montra vite efficace. Un second orgasme simultané les atteignit et les laissa pantois pour un ...