1. De la petite Marie à la redoutable Malika (2)


    Datte: 20/06/2019, Catégories: Erotique, Auteur: ManuLolo, Source: Xstory

    ... livrée inconsciente et sans cette lueur de mépris dans le regard ! Je n’en pouvais plus, je sortis difficilement la queue de mon jean et m’approchais avec précaution de ces cuisses écartées. Quelle connerie que de n’avoir pas de capote !Qu’allais-je faire ? J’étais véritablement dans un état second, perdant tout contrôle de moi-même. Tant pis ! Je poussais doucement ma queue entre les lèvres du con poisseux, qui sembla m’aspirer d’un coup ! Quelle humidité dans ce con de velours, si large mais si doux... j’étais au comble de l’excitation. J’avais du mal à retenir mon souffle tandis que j’allais et venais entre les cuisses de cette salope de Malika. Je n’avais jamais rien ressenti de tel, non pas tant physiquement, car ma queue, malgré sa taille et sa largeur respectables, était peu serrée, mais par le contexte de cette baise, avec cette femme qui me haïssait et qui pourtant allait me donner dans son inconscience un plaisir inouï et inédit.
    
    Hélas, je ne pouvais jouir en elle, ou sur elle, et risquer de laisser ainsi une trace trop évidente de mon passage, mais je la baisais, je la baisais... Je vis une culotte blanche, froissée dans un coin de la tente. Je la pris et au moment où je sentis que ma semence allait jaillir de mes entrailles, je sortis la queue de cette grosse chatte velue et me vidai dans le petit dessous dont j’avais entouré mon gland. Quel bonheur ! Je n’avais jamais eu l’impression de jouir aussi fort et de gicler autant de sperme en une fois. J’avais du ...
    ... mal à retenir mon souffle tandis que Malika gémissait encore doucement dans son profond sommeil. Il fallait que je parte, même si j’avais envie aussi de regarder comment étaient ses gros seins, mais ça n’aurait pas été prudent. D’ailleurs, je me sentais vidé et il était tard. Je mis la culotte dans ma poche.
    
    Apercevant un téléphone, près du sac à main, je le pris machinalement et, je ne sais pourquoi, cherchai les photos qui pouvaient s’y trouver... Des photos du séjour, les jeunes, les moniteurs... rien à signaler...
    
    Mais, dans cet autre fichier...! Mes yeux s’écarquillèrent : des photos de la garce dans de drôles de positions et en train de faire des choses surprenantes. Je ne pouvais pas laisser passer ça : je rentrai rapidement mon numéro perso et m’adressai toute une série de messages, joignant à chaque fois six ou sept photos. Je n’avais pas le temps de tout détailler et admirer. Je pris garde à effacer mon numéro et les envois de l’historique des messages du téléphone de Malika, puis je remis celui-ci en place.
    
    Je contemplai une dernière fois cette scène inoubliable, puis recouvris Malika de son duvet après avoir remis son t-shirt en place, jusqu’à mi-cuisses. Je sortis de la tente et refermai aussi silencieusement que possible la tente de la cheffe. La culotte dans la poche, j’entrepris de regagner tranquillement ma propre tente. Quel moment inoubliable j’avais vécu !
    
    A mi-chemin, tandis que je me demandais si Marie m’attendait sagement ou si elle avait ...