1. Mamie Geneviève (18)


    Datte: 20/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: yphos, Source: Xstory

    ... langue, en pompant, en mordillant. Le tout avec une frénésie incroyable !
    
    La pointe de mon pied est maintenant toute mouillée par sa salive, il s’en rend compte et je l’invite à s’interrompre et à me glisser le soulier que je lui tend. Il le fait en tremblant d’excitation tout en prenant soin de soutenir délicatement ma cheville.
    
    Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir que mon autre pied est déjà à deux centimètres de son visage. Il me lance un regard reconnaissant et ouvre la bouche pour me sucer à nouveau.
    
    C’est la première fois que l’on me fait ça et je trouve que c’est hautement érotique.
    
    A retenir !
    
    Il ne s’éternise pas sur mes orteils et ses lèvres courent maintenant sur mon mollet tandis qu’il m’enfile le deuxième escarpin.
    
    Je le laisse me biser jusqu’au genou avant de déclarer :
    
    « Tu me troubles, c’est trop bon ce que tu me fais! »
    
    Ce moment d’intimité érotique m’a fait basculer dans le tutoiement, spontanément, comme si il était déjà mon amant. Il ne s’en offusque pas et répond:
    
    - Je n’avais jamais fait ça avant ! Mais merci Geneviève !
    
    — C’est très agréable en tout cas ! Comment t’es venue l’idée de me faire ça ?
    
    — Il y a fort longtemps, j’étais encore jeune, maman m’avait demandé de lui masser les pieds et ça m’avait beaucoup troublé. Je ne sais pas pourquoi l’idée m’est venue maintenant.
    
    — Tu es l’homme idéal, tu es si délicat avec moi. Veux-tu m’aider à me relever s’il te plaît.
    
    — Oui, bien sûr …
    
    Il prend mes mains ...
    ... dans les siennes et m’aide avec douceur à me remettre debout. Il tente de se reculer pour me laisser passer, mais je l’attire à moi, jusqu’au contact de nos corps.
    
    Je repense au jeune Bastien amoureux de sa mère et que j’ai dévergondé. Il me faut faire la même chose avec Gilles qui me voit un peu comme sa mère, même si je ne lui ressemble pas du tout. En effet, la maman de Gilles a mal supporté une ménopause qui lui a fait prendre beaucoup de poids.
    
    Je souffle : « Embrasse ta maman, maintenant ! »
    
    L’effet est instantané. Il me serre fort dans ses bras et quand je lui tends mes lèvres, il me donne un baiser passionné. Ses mains courent partout sur mon corps et finissent par s’immobiliser sur mon fessier. A mon tour, je glisse mes mains sur ses fesses que j’écrase pour qu’il plaque son pubis contre le mien.
    
    Nos langues se mêlent, se cherchent, se taquinent. Cette fois je le sens durcir contre mon ventre. Je glisse une main, ouvre sa braguette et libère son membre pour mieux le pétrir.
    
    Je lui souffle :
    
    - J’ai envie de toi mon fils chéri, prends-moi s’il te plaît !
    
    — Oh oui maman !
    
    Décidément ! Tout comme Bastien, mon gendre est secrètement amoureux de sa mère. Ou plutôt de sa belle-mère en ce moment !
    
    Avec promptitude, je quitte ma jupe et ma culotte. Gilles est totalement fasciné par ma toison et sa queue se dresse un peu plus quand je m’allonge sur le tapis, jambes ouvertes.
    
    Il me saute carrément dessus et je me sens pénétrée en moins de deux ...