1. L'horrible Dette 03


    Datte: 19/06/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymefistoxx, Source: Literotica

    ... les solides et jeunes gaillards. Vic dit:
    
    -Vous croyez que ça rentrera? Il est énorme!
    
    -Il rentrera. Son trou du cul, on va en faire un tunnel de métro!
    
    Alors il commença lentement. Ma mère sentit l'objet s'introduire en elle. Elle grimaçait de douleur, se mordait les lèvres afin de se retenir de hurler. L'homme avait déjà pratiqué ce genre de chose. il y' allait doucement. C'était limite, le trou du cul de Marie était au bord du déchirement mais le gode rentrait petit à petit. Elle poussa un cri de douleur tandis que l'homme enfonçait le gode toujours plus profondément. Le temps sembla une éternité pour ma pauvre mère. Vic prenait des photos et des caméras tournait cette scène perverse. Le quinqua arriva au trois quart du gode et commença à faire de lent va et vient. Le visage de Marie était devenue rouge tant la douleur était intense. Elle poussait de long râle. le gode était vraiment trop gros mais le quinqua agissait en pro. Il la ramona pendant un temps. Le gode s'enfonçait dans ses entrailles, distendant le conduit culier. Au bout de quinze minutes de va et vient, il retira l'objet. Marie cru défaillir. Son beau corps nu ruisselait de sueur. Elle poussa un cri de soulagement. l'homme observa son œuvre. il écarta les fesses de ma mère et regarda satisfait:
    
    -Pas de dégâts! un beau trou du cul comme ça, j'en boufferais tous les jours.
    
    Il lui lécha l'anus, sa langue chaude fouillant le trou martyrisé. Marie eut une agréable sensation. la langue chaude ...
    ... détendait son orifice douloureux. C'était humiliant mais pas désagréable pour elle. Les hommes relâchèrent leur étreinte laissant la femme mature à quatre pattes, le cul offert à la langue perverse du quinqua qui n'arrêtait pas. J'observais de mon coté la dépravation de ma propre mère qui se faisait lécher le trou du cul par un malade. les autres étaient autour et observaient le spectacle. Ils avaient l'œil aussi sur les seins gigantesques qui pendaient lourdement et ballottaient à chaque léger mouvement de ma mère. L'un des jeunes sortis son sexe et commença à se masturber devant la scène. Le quinqua finit par se redresser et sortit son sexe dur, pris ma mère par les hanches et l'encula. Il la lima de plus en plus vite, ses couilles claquant contre les fesses de Marie. Il gicla et remplit les entrailles de Marie épuisée. Elle se laissa tomber de coté mais ce n'était pas fini pour elle car d'autres voulaient se vider les couilles.Pour les plus jeunes, c'était la grosse paire de nibards qui les interessaient et question nibards, ma mère était championne. Vic la saisit par les cheveux pour la redresser. D'abord elle suça les quatre plus jeunes, le quinqua était vidé mais ne perdait pas une miette de la scène. L'un deux dégorgea dans sa bouche tout son jus puis les autres se branlèrent entre les seins de ma mère qui jadis m'avaient allaité. J'avais l'impression d'une souillure. Cette poitrine maternelle, gorgé de lait jadis devenait des jouets de luxure. Épuisée, Marie se laissait ...
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