Une infinie jouissance
Datte: 19/06/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Akileditu, Source: Hds
UNE INFINIE JOUISSANCE…
L’autre matin, j’étais au petit marché de mon quartier. Je choisissais des fruits quand, tout à coup, je sentis sur ma nuque un souffle chaud et, n même temps, une main aux fesses, bien insistante…
Je me retournais. Rémi ! Je ne l’avais pas revu depuis notre première et seule rencontre, bien torride ( voir « une infinie douceur « ). J’en avais gardé le souvenir de quelqu’un de très très doux, zen, réservé même mais…chaud comme la braise une fois lancé sexe. Eh ben, on dirait qu’il avait un peu changé le Rémi ! Rien que dans sa façon de m’aborder… Bon, ce n’était pas pour me déplaire non plus car j’en avais plutôt gardé un trop bon souvenir de Rémi. Visiblement, lui aussi. Très vite, on se retrouve comme si on s’était quitté la veille. En plus, ça tombe pas mal ca&r Paulo est absent depuis un bon moment déjà et il n’est pas près de rentrer de suite…Ca commence à me démanger pas mal côté bas ventre…Aussitôt, Rémi m’invite à boire un verre de blanc avec lui en terrasse. On s’installe en vis-à-vis, les yeux dans les yeux, seuls au monde. Rémi m’a déjà rebranché sexe et me redemande où j’en suis avec Paulo. Visiblement, il cherche à renouer. Déjà, sous la table, sa jambe vient se coller contre la mienne. C’est sa technique, ça, la jambe collée… Son pied me caresse avec insistance. A la table d’à côté, un jeune couple se dévore la bouche avec délice en nous lançant des coups d’œil amusés et complices. Rémi ne se gêne absolument pas et évoque, à voix ...
... très haute, les exploits amoureux de notre première rencontre… S’ily avait encore un doute sur notre relation, cette fois, il est totalement levé pour nos voisins.
« -Viens, on va s’acheter des trucs à grignoter. Tu n’as pas faim, toi ? «
Aussitôt dit, aussitôt fait. On passe d’un marchand à l’autre pour acheter nems, ailes de poulets, fajitas, salades… Et on s’en revient au café, à notre table. Le petit couple est toujours là. On dévore tout ce qu’on a acheté, en se faisant goûter, en se léchant les doigts l’un de l’autre. Bref, un ballet amoureux se met en place autour de la bouffe.
« - Tu sais, je crois que je vais pas pouvoir tenir jusqu’à chez toi…J’vais voir s’ils ont des chambres. »
Aussitôt il se lève, va demander et claironne de l’autre bout de la salle :
« -C’est bon, ils ont des chambres. Viens ! »
Pour le coup, nos voisins de table sont écroulés de rire.
« -J’crois bien qu’on va faire comme vous ! »
La montée dans l’escalier fut plus qu’épique. Rémi m’a déjà délesté de mon blouson, il me colle conttre le mur, me dévore la bouche en glissant ses mains sous mon sweat. J’en profite pour glisser les miennes dans son jean. Tiens, il n’a pas de slip. On n’en finit plus de se dévorer et de se caresser au point que notre petit couple nous double dans l’escalier pour rejoindre leur chambre, eux aussi et nous vannent au passage. A peine franchis la porte, Rémi se jette sur ce qui me reste de fringues à enlever. Pour le coup, je ne reconnais plus du ...