Le Slow Club
Datte: 19/06/2019,
Catégories:
fh,
grp,
jeunes,
extracon,
inconnu,
danser,
fête,
jalousie,
strip,
Oral
Auteur: SophieF., Source: Revebebe
... qu’un autre vous la pique !
Il y a eu des rires. Quelques filles ont changé de partenaire. Pas moi, bien sûr, qui suis restée le plus près possible de Thomas pendant qu’il enlevait sa chemise.
— Les chemises sur cette table, où j’allume une bougie, a dit le type.
Les couples s’en sont approchés peu à peu, en tournant lentement sur le parquet. La bougie était fichée sur une bouteille de scotch vide. Thomas a jeté sa chemise sur la table. Les choses n’allaient pas en rester là, bien sûr, mais le moyen de partir ?
— Les filles en soutien-gorge, si elles en ont un !
Thomas a déboutonné mon corsage, qu’il a posé ensuite sur la table à la bougie. J’avais mon soutien-gorge parme, avec une petite rose rouge entre les seins. Nous glissions contre d’autres corps. Quand le type a dit que les filles devaient ôter leur soutif, je n’ai pas empêché Thomas de dégrafer le mien ; j’avais très chaud, et surtout j’avais envie de pouvoir appuyer ma poitrine nue sur la sienne nue. Nous avons dansé longtemps ainsi.
À côté de nous, encore des garçons et des filles qui changeaient de partenaires. Une tentation perverse m’a troublée : et si, nous aussi ? Alors j’ai serré très fort Thomas dans mes bras.
— Si pantalons et jupes vous gênent, n’hésitez pas à vous en débarrasser ! a suggéré le type.
Mon cœur a battu très fort quand Thomas a commencé à défaire ma ceinture. Nous nous sommes éloignés des autres corps, presque tous déjà à moitié nus, pour que je puisse enjamber ma jupe, ...
... que Thomas a déposée sur la table. Il était inévitable que son pantalon rejoigne ma jupe et les autres vêtements. Après, mes mains ont quitté son cou pour palper ses fesses si musclées, pour faire comme lui, qui avait les mains sur les miennes, sous ma culotte parme, assortie au soutif, avec une rose rouge sur le côté droit.« Thomas est à moi, et à nulle autre ; et je suis à lui, et à nul autre. » ai-je pensé. Mais à l’idée que nous allions peut-être être invités à changer de cavalier, j’ai senti que mon bas-ventre devenait humide.
La consigne suivante fut de quitter slips, boxers, caleçons, petites culottes, tangas ou strings. J’ai mis mes mains autour du cou de Thomas pour le laisser décider, pour lui et pour moi. Il a gardé son boxer, sous lequel il bandait ferme, et m’a laissé ma petite culotte. Je le regrettais un peu. Nous avons continué à danser. Parfois, des mains me touchaient ou touchaient Thomas. On tentait de nous séparer. Je résistais.
— Messieurs, le moment est venu de changer impérativement de cavalière !
Je m’y attendais. J’ai détaché mes bras du cou de Thomas et je me suis retrouvée aussitôt dans d’autres bras, qui m’ont agrippée si fort que ma poitrine nue est venue se coller à la poitrine nue d’un inconnu. En sueur ! Des lèvres cherchaient mes lèvres. J’ai détourné la tête. Le type s’est rattrapé sur mon cou.« Il va me faire un suçon, cet abruti ! » ai-je pensé. J’ai tenté de reculer mais il me serrait trop fort.
Il a compris qu’il n’arriverait ...