Un Propriétaire Compréhensif
Datte: 19/06/2019,
Catégories:
Épouses affectueuses,
Auteur: byRobertomaloch, Source: Literotica
... avec un vieux monsieur, moi, une jeune mariée amoureuse? Tu veux que ta petite putain ait son premier client?
Elle ne me laissa pas répondre, m'embrassa et sa main glissa dans mon caleçon. Nous avons fait immédiatement l'amour, mais après nous être embrasés, elle me dit ne pas être sûre d'oser cela.
Depuis cet échange, je m'arrangeais pour les laisser seuls plus longtemps, et Elodie me confia qu'il en profitait pour caresser fugitivement son sexe par-dessus sa culotte, et palper ses seins. Elle retenait sa main, pour le principe, mais n'empêchait rien. Quand je lui ai demandé de le recevoir sans culotte, elle s'est raidie, a hésité, puis a décidé d'en rester à ce jeu coquin et brûlant, sans aller jusqu'à une caresse intime. Elle n'était pas prête et je n'ai pas insisté.
J'adorais son corps, et je ne pouvais m'empêcher en le regardant de l'imaginer nue aux côtés d'Henri : c'est le contraste, type Belle et la Bête, qui m'excitait le plus, et d'ailleurs c'est aussi ce qui visiblement l'excitait, car il n'avait rien de vraiment attirant, en tout cas pour une belle jeune femme de 23 ans et je me croyais plus viril que lui, tout en étant aimé d'elle. Ses cheveux noirs mi-longs et épais, légèrement ondulés, ses yeux marrons foncés, ses seins fermes aux aréoles sombres, son épaisse toison noire, son sexe joliment dessiné et souligné par un fin duvet sur ses lèvres charnues, ses fesses rondes et fermes, tout cela m'affolait. Ajoutons à cela un beau visage aux traits fins, ...
... un sourire désarmant et une expression constante de fausse timidité qui lui donnait avec ses fines lunettes qu'elle portait trop rarement à mon goût un air très sage contrastant avec son appétit sexuel, ses fantasmes crus et sa désarmante franchise.
Plus le jeu se prolongeait, plus elle évoquait son vieil oncle dans nos délires, disant regretter qu'il ne se soit rien passé d'autres que des attouchements, surtout quand elle eut 18 ans (je l'ai connue à 19, étudiante). C'est là que j'ai su que le soir même de notre mariage, en pleine fête, alors que son oncle la faisait danser et qu'elle était éblouissante de beauté, il lui a dit qu'elle était si jolie qu'il aurait du aller au delà de ses gestes, qu'il aurait du lui faire l'amour alors que désormais c'est moi qui avais cette chance. J'ai ainsi appris qu'il me détestait et aussi que l'aveu de l'oncle avait violemment excité ma petite femme, le soir de ses noces. Il l'avait alors serré très fort, elle l'avait senti bander et elle lui a dit qu'il aurait du oser, car elle en avait rêvé, et qu'elle en rêvait encore mais qu'il était trop tard. Cet aveu bouleversa l'oncle, se traitant d'imbécile, qui lui promit de lui faire l'amour bientôt, malgré ce mariage qu'il maudit. Cela me glaça.
— Pourquoi avoir épousé un jeune de ton âge, alors que les vieux t'attirent? Je t'excite moins qu'eux? Si je dois attendre encore 25 ans, d'avoir presque 50 ans, pour t'exciter comme eux?
— Mais non, idiot! C'est toi je t'aime! Je ne sais pas ...