1. Les Normands - Épisode III


    Datte: 19/06/2019, Catégories: fh, ff, hh, 2couples, fbi, hbi, hplusag, fplusag, frousses, Oral fdanus, fsodo, hdanus, hgode, hsodo, entrecoup, Auteur: Ducfranck, Source: Revebebe

    ... je me fais à nouveau sodomiser.
    
    Nous passerons la fin de matinée et le début d’après-midi à nous prendre à tour de rôle. Lorsque les femmes arrivent vers quatorze heures, nous sommes douchés et assis chacun sur un fauteuil en train de faire une petite sieste réparatrice. Elles nous réveillent en se moquant de notre état de fatigue et s’enquièrent de détails croustillants tandis que nous mangeons le pique-nique qu’elles ont improvisé pour midi. Émoustillées par notre matinée coquine, elles racontent à leur tour leurs caresses dans la cabine d’essayage d’un magasin de fringues.
    
    Elles ont été moins bestiales que nous mais leur petite histoire me fait de l’effet, je tourne la tête vers Marc et l’expression de son visage me renvoie la même chose. Pourtant nous ne ferons rien de plus ; après avoir nettoyé les restes du repas, nous irons nous balader pour faire visiter Avignon à nos touristes normands.
    
    La soirée est courte car nos amis sont fatigués de leur voyage. Donc, après avoir dîné au restaurant, tout le monde va se coucher. Nous profitons d’être allongés dans le salon pour regarder un peu la télévision et surtout chuchoter sur ce qu’il s’est passé depuis leur arrivée. Brigitte les trouve très agréables et elle est contente qu’il n’y ait pas que le sexe mais aussi de l’amitié dans la relation qui me lie avec eux. Heureuse aussi d’avoir été intégrée et elle m’avoue être contente de vivre une relation de ce type. Quand je dis qu’elle est parfaite, je ne mens ...
    ... pas.
    
    oooOOOooo
    
    Ce dimanche matin, c’est l’embouteillage dans la salle de bain où se trouve, en plus, le cabinet de toilettes. L’impression d’être dans un camp d’ados est réelle tant les rires et les blagues potaches fusent toutes les deux minutes. Les viennoiseries que je suis allé chercher avec Gina – nous étions les premiers prêts – sont englouties rapidement par nos bouches affamées. Il faut prendre des forces pour affronter le mistral qui souffle vraiment très fort. Nos invités veulent voir le Pont-du-Gard, nous passerons quelques heures au bord du Gardon avant de revenir manger à l’appartement. Dehors, le temps humide et le vent glacial ont eu raison de nos envies de balades. Vers quatorze heures, nous finissons le repas, qui a été copieusement arrosé de Côtes-du-rhône. À ce propos il faudra les emmener faire la tournée des caves samedi prochain, cela promet d’être triste pour celui qui va se dévouer pour conduire et donc ne pas boire.
    
    C’est un peu pompette que Gina me demande de venir m’immiscer sous sa jupe pendant qu’elle nettoie la cocotte-minute. Assis dos à la porte située sous l’évier, je suis à la bonne hauteur pour poser ma langue sur son fin boxer en voile. Il est déjà détrempé et c’est avec bonheur que je viens plaquer ma bouche sur ses lèvres. Le tissu gêne ma prospection et, avec son aide, je retire la lingerie. Enfoui dans la garrigue odorante, je lape sa vulve et son clitoris sensibles. Dans le noir, je ne vois pas ma compagne et Marc s’approcher avec pour ...
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