1. Pute la première fois


    Datte: 18/06/2019, Catégories: Anal Transexuels Hardcore, Auteur: claudiasexpartie, Source: xHamster

    Prostitution, rêves, fantasmes et ….
    
    - J'étais à cette époque militaire dans le 78, et le weekend, je m'empressais, de sauter dans le car des cadres qui nous conduisait à la capitale. J'avais l'habitude d'arpenter les rues chaudes, le quartier des hales dont la rue St Denis, Pigale et bien sur le bois de Boulogne.
    
    - Autant que je me souvienne je devais avoir 19 ans, dépucelée jeune, travestie depuis encore plus jeune, mais toujours en privé, ce fantasme m’est venu petit à petit au fil du temps. Pas vraiment celui de me prostituer, non bien sûr. Mais celui de me sentir comme une marchandise, une marchandise ou un objet que l’on regarde avec envies. Une marchandise convoitée désirée, un objet de désir et de plaisirs que l’on pourrait louer, acheter ou vendre.
    
    - J’adore ce fantasme. Je l’adore, car il me permet d’imaginer une multitude de situations toutes plus invraisemblables, différentes et plus perverses les unes que les autres. Même et surtout parce qu’il est absolument impensable et complètement immoral. C’est un fantasme, dans un fantasme, on peut tout imaginer, même et surtout le pire. Rires… Grande, mince, (à l'époque) en nana j'étais très convoitée, mais bien moins expérimentée que maintenant. Bé oui on peux pas tout avoir, la jeunesse et l'expérience, même si de nos jours tout vas plus vite.
    
    Du fantasme à la réalité.
    
    - Je m'imagine en jolie jeune "femme" qui se prostitue par ennui, et par plaisir. Bien sûr, j’ai aussi remarqué ces jeunes femmes qui ...
    ... font le trottoir ou celles qui attendent les clients sur le bord de certaines routes. Je regarde leur tenue, leur visage, essayant d’imaginer leur parcours, leur détresse. Je sais, je suis bien consciente qu’elles ne le font pas par plaisir. Je suis aussi consciente des risques d’agressions et de maladie qu’elles peuvent avoir, ainsi que des horreurs qu’elles doivent endurer. Je sais tout cela. Mais, un fantasme ne tient pas compte de tout cela, il ne tient pas compte de la réalité. Un fantasme est toujours très excitant à élaborer, à imaginer, même le pire des fantasmes. Pour moi, la peur peut aussi faire partie intégrante d’un fantasme, c’est aussi quelque chose de très excitant.
    
    - Alors, en secret j’élabore mon fantasme. Je l’imagine, je le vis. Je m’habille en prostituée. Très vite, j’ai acheté une tenue que je trouve appropriée à ce genre d’activités. Je prends aussi une perruque blonde, mi-longue, qui me change le visage d’une façon vraiment étonnante. Une paire de lunette neutre en accentue encore plus l’effet. Je me regarde dans le miroir, je prends des poses. Je me trouve très sexy. Je ressemble aux jolies prostituées que je vois dans les rues et au bois de Boulogne.
    
    - L’idée de le faire réellement, m’a très vite traversé l’esprit. Mais, je n’ose pas aller dans une rue déserte, la nuit, habillée en pute, ou au bord d’une route. J’y pense. Petit à petit, c’est devenu une obsession. Juste me montrer cinq dix minutes, que des hommes des inconnus me voient dans cette ...
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