Retrouvailles
Datte: 18/06/2019,
Catégories:
fhh,
copains,
Oral
69,
double,
cocucont,
Auteur: hardi7273, Source: Revebebe
... semaine. Aline et moi avions des RTT à prendre et nous ne travaillions pas le vendredi, comme il était lui-même en congé, je lui dis de venir le jeudi soir, afin que nous ayons trois jours entiers ensembles.
Quand j’en parlais à Aline, elle me dit qu’effectivement Brigitte le lui avait dit, lui demandant de ne jamais m’en parler car cela me foutait en rogne à chaque fois et que, même eux, n’osaient plus m’en parler. Elle fut heureuse de voir que j’avais accepté de renouer avec lui.
Il vint donc le jeudi soir, avec une bouteille d’un excellent et sûrement très coûteux vin ainsi qu’un bouquet de fleurs pour Aline.
Entre temps, Jean-Pierre avait mis en place une réunion à laquelle je devais absolument participer le vendredi matin à 10 h. Ça me ferait m’absenter jusqu’à 15 h environ. Comme je n’avais que peu de trains, je devais donc m’y rendre à mes horaires habituels.
La soirée se passa agréablement mais je me sentais inquiet car ne pouvant vraisemblablement pas s’empêcher, comme dans mes plus mauvais souvenirs, il faisait le charmeur.
Je dois reconnaître que Thierry est un très bel homme, grand baraqué, intelligent, faisant montre d’une grande culture, d’un à propos et de réparties immédiates et humoristiques, il avait toujours été l’attraction dans les soirées. À côté de lui, je me sentais un peu insignifiant.
Aline semblait sensible à son charme et je voyais bien qu’il lui plaisait beaucoup.
Aussi, comme après avoir fait l’amour, posant sa tête sur mon ...
... épaule comme d’habitude, elle me dit qu’elle le trouvait très beau et que, ma foi, elle se laisserait bien tentée, je fus très inquiet.
— C’est vrai, il te plait ?
— Ça t’ennuie, mon chéri ?
— Tu sais, il me piquait toujours mes copines quand on était jeunes, c’est d’ailleurs à cause de ça que nous nous sommes disputés. Je me rends bien compte que je suis très palot à côté de lui. Si vous vous plaisez tant que cela, j’ai peur que …
Un peu désespéré, je ne terminais pas ma phrase. Interloquée, Aline se redressa et me regard intensément. Puis elle éclata de rire.
— Tu as peur que je te quitte pour lui ?
— Oui.
— Alors là, tu ne risques rien, mon chéri. Tout d’abord, je t’aime et jamais je ne te laisserais. Tu me montres chaque jour à quel point tu m’aimes. Et puis surtout, sais-tu quelle en est la raison principale ?
— Non !
— Sais-tu à qui il m’a fait penser en nous racontant ses aventures et en faisant le beau toute la soirée ?
— Non !
— À Joël ! Et crois-moi, quiconque me fait penser à Joël, ne risque pas de me détourner de toi ! Je te l’assure. Mais de toute façon, si cela t’ennuie que je fasse l’amour avec lui, je ne le ferai pas ! Ne t’inquiète pas !
Je la regardais et vis qu’elle semblait vraiment sincère. J’en fus rassuré et très heureux. Comme, en se relevant, elle avait dévoilé sa poitrine, mon désir d’elle étant revenu, je la repris dans mes bras et l’embrassai. C’est en me traitant de pervers et d’obsédé que nous avons refait l’amour, beaucoup ...