Et si (2)
Datte: 18/06/2019,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
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Auteur: Lolabibop, Source: Revebebe
... vient mettre ses mains juste en dessous pour prendre le relais. Marc s’accroupit, glisse les mains sous ma robe et m’enlève ma culotte. Ses doigts passent sur ma fente pendant que le bout de mes seins est pincé avec vigueur.
— Mais c’est qu’elle mouille comme une petite salope… Rhabille-toi !
La promenade continue mais dès qu’un petit coin sombre se présente, ils m’y attirent pour me peloter sans ménagement, l’atmosphère est électrique. Mes fesses sont caressées, palpées, soupesées de même que ma chatte et mes seins. Avoir quatre mains exploratrices sur moi est enchanteur.
De retour à la villa, nous décidons de nous baigner, nous sommes nus tous les trois. Giovanni va préparer un petit plateau d’apéritif pendant que Marc téléphone. Moi, je décide de ne pas les attendre et je m’éloigne du rivage en quelques brasses. Une douleur fulgurante sur le haut de la cuisse me fait hurler et sortir de l’eau très vite, une piqûre de méduse.
Les deux hommes me rejoignent, m’aident à sortir de l’eau et m’attirent sur une chaise longue. Giovanni dépose du sable brûlant sur ma blessure et commence à frotter vigoureusement, je crie sous la douleur, Marc me saisit les bras pour m’empêcher de bouger et me plaque une main sur la bouche. La douleur se calme un peu grâce à l’onguent que Giovanni me pose puis sa main dans ma chatte me calme tout à fait, mes yeux se ferment et j’entends leurs voix de loin.
— C’est très douloureux, Marc, ce qu’elle vient de subir.
— ...
... Certainement, j’en ai entendu parler mais ça ne m’est jamais arrivé…
— Elle supporte plutôt bien la douleur…
— Il faut dire que tu as su la calmer, dit Marc dans un rire.
— Vous avez déjà exploré la douleur et le plaisir mélangés.
— Euh… non… pas vraiment… nous en avons parlé et en avons conclu que c’était un truc à explorer un jour.
— Viens avec moi, je vais te montrer quelque chose.
Les deux hommes s’éloignent et je m’endors. À mon réveil, ils sont là, à côté de moi, ils se sont rhabillés, Marc porte un pantalon en lin blanc et Giovanni un pantalon de cuir noir, leurs mains glissent sur moi et je tends les bras pour les étreindre.
— Non ! Ce soir tu es notre petite salope et tu n’as droit à aucune initiative, c’est compris ?
C’est Giovanni qui vient de dire ça. Sa voix est coupante mais je vois une si grande tendresse dans leurs yeux que je sais que je peux les laisser faire.
— Oui !
— Très bien ! Maintenant lève-toi et suis-nous !
— Je peux me rhabiller ?
— Non ! Et maintenant, tu te tais !
Penaude, je les suis. Ils m’entraînent dans le couloir vers la chambre du fond qui était fermée à clé. Nous entrons et là, contrairement à toutes les autres pièces claires et aérées, cette pièce est entièrement noire, éclairée de bougies et de torches, une vraie salle de torture. Des chaînes pendent du plafond ainsi qu’une balançoire en cuir. Une chaise gynécologique dans un coin et une croix de St-André dans un autre… un frisson glacé me parcourt l’échine malgré la ...