1. Et si (2)


    Datte: 18/06/2019, Catégories: fh, fhh, fffh, inconnu, vacances, parking, voiture, train, collection, amour, fsoumise, hdomine, contrainte, dispute, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, massage, fgode, légumes, double, fdanus, fsodo, hdanus, jeu, piquepince, init, sm, Auteur: Lolabibop, Source: Revebebe

    ... violence, je relève mes jambes et me plante sur son pieu alors que Marc caresse mon petit trou avec du lubrifiant puis s’introduit. Une fois que c’est fait, nous ne bougeons plus, étonnés nous-mêmes par ces nouvelles sensations.
    
    — Vas-y, ma belle ! Sers-toi des chaînes pour bouger et nous donner le rythme !
    
    Je me redresse et attrape les chaînes et je descends doucement sur ces pieux vigoureux, je le fais exprès doucement pour bien sentir cette sensation d’être totalement remplie. Mais la position est difficile à tenir physiquement, nous décidons de faire une pause en allant prendre un bain de mer.
    
    Puis nous nous couchons sur les matelas de la terrasse, moi entre les deux, les embrassant à tour de rôle, je les caresse dans le même temps puis je me mets à genoux et les suce, une léchouille d’un côté, une léchouille de l’autre. Marc me renverse à quatre pattes et me prend en levrette, Giovanni se met derrière lui et je comprends à ses soupirs douloureux qu’il se fait prendre lui aussi. Giovanni s’accroche à mes hanches et nous faisons l’amour à Marc, pris en sandwich entre nous. La situation me paraît étrange mais quand j’entends les cris de plaisir des deux, je me laisse aller au mien.
    
    Nous avons continué notre tendre trio très tard dans la nuit et c’est fourbus que nous avons repris l’avion laissant cette aventure étonnante derrière nous.
    
    Au retour, nous passons par Rome où nous profitons de nos derniers jours de vacances pour visiter la ville, il fait beau et ...
    ... chaud et nous marchons dans la ville. Nous sommes tout au plaisir de passer ces jours ensemble, sans personne, notre complicité est intacte mais nous ne faisons plus l’amour. Nous passons nos journées à parler, rire, nous toucher et nous embrasser mais le soir venu nous ne faisons que nous endormir dans les bras de l’autre.
    
    Une ombre plane, je sens bien qu’il faudrait parler de notre dernière nuit avec Giovanni mais je ne sais pas comment m’y prendre, mon amour semble bloqué dans la même situation.
    
    En début de soirée, nous nous rendons à la gare pour rentrer chez nous dans un train de nuit. Comme nous avons pris nos réservations trop tard, il n’a pas été possible de prendre une cabine avec couchette, nous nous retrouvons seuls dans un compartiment de six places et si tout se passe bien, nous pourrons nous coucher chacun sur trois sièges.
    
    Nous sommes l’un en face de l’autre et nous lisons, j’enlève mes chaussures et viens poser mes pieds de part et d’autre de Marc.
    
    — Enlève ton slip ! Je veux voir ta chatte de salope
    — Pardon ?
    — Ça ne t’a pas trop gênée de l’exhiber devant Giovanni si je ne m’abuse.
    
    Sa voix est dure et son regard méchant.
    
    — Nous y voilà… je sentais bien un climat de gêne entre nous ! Ce qui s’est passé a été fait entre trois adultes libres et consentants.
    — T’as pris ton pied, hein ?
    — OUI ! ET TOI AUSSI.
    
    Je crie, cette mauvaise foi est insupportable ! Nous nous toisons l’œil mauvais. Je me jette sur lui et lui prends le visage entre ...
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