Vacances en camping-car (2)
Datte: 17/06/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: burton195, Source: Xstory
... dire ?
-Non, pardon, j’étais perdu, et...
-Je te disais que je me suis doigté en pensant à toi !
Après un long silence :
-Tu t’es doigté en pensant à moi ?
-Oui, et pas qu’un peu, si tu veux savoir ! Le fait de t’avoir vu en boxer une grande partie de la journée à réveillé mes hormones, et...
-Pourquoi tu me dis ça, Marion ?
-Parce qu’on est jumeaux, donc on doit tout se dire, c’est ce qu’on fait depuis toujours, d’ailleurs....
-Oui, mais là quand même...
Je ne termine pas ma phrase. La logique aurait voulu que je lui en veuille, mais évidemment, ce n’est pas le cas puisque moi même, sous la douche du camping, à quelques mètres d’elle, je me suis également branlé en pensant à elle.
-Je sais que tu dois m’en vouloir, Quentin. Après tout, on est frère et sœur, donc on ne peut pas faire ce genre de chose mais là, c’était plus fort que moi. Je ne m’étais pas branlée depuis longtemps, et...
-Tu veux savoir ce que c’est, le comble ?
-Non ?
La vérité, toujours la vérité !
-C’est que j’en ai fait autant, hier soir...
-Tu t’es branlé toi aussi ?
-Oui, et en pensant à toi, également...
-Ca alors...
Elle marque un silence, apparemment étonnée par ce qu’elle vient d’entendre, puis :
-Les grands esprits se rencontrent, comme on dit...
-C’est ça, oui. Le fait de t’avoir vu en culotte ...
... et les jambes nues, ça m’a... ça m’a rendu fou, Marion !
-Je vois ça...
Encore un nouveau silence, puis :
-Tu sais que, maintenant qu’on s’est dit ça, rien ne sera plus jamais pareil, entre nous ? Me dit-elle.
-Je le crains, oui. En plus, si les parents l’apprenait...
-Je dirais rien, sois tranquille !
-Moi non plus...
Un nouveau silence s’installe, cette fois-ci plus long que les deux précédents. En fait, beaucoup de choses se sont passées en quelques minutes : j’ai dis à ma sœur qu’elle me faisait de l’effet, j’ai appris qu’elle était pucelle comme moi et, pour finir, nous nous sommes tous les deux branlés hier soir en pensant à l’un à l’autre. Marion avait raison : comment faire comme si de rien n’était, à présent ? Cela risquait d’être compliqué, et je ne croyais pas si bien dire, car le pire arriva.
Une nouvelle fois, ce fut Marion qui rompu ce silence.
-Désolé, Quentin, je ne peux pas, on ne peut pas, même. C’est... c’est pas bien !
Sans que je n’ai le temps de dire quoi que ce soit, Marion attrapa son tee-shirt qu’elle enfila sans dire un mot. Une fois qu’elle eut terminé, elle se remit en position tête bêche puis, toujours dans le silence le plus total, elle s’allongea et ferma les yeux.
Moi qui pensait que dire la vérité allait arranger les choses, finalement, c’était tout le contraire...