1. Mon meilleur ami me force à accepter ma vraie nature... (1)


    Datte: 17/06/2019, Catégories: Transexuels Auteur: peaceme91, Source: Xstory

    ... J’étais à genoux, une bite dans ma bouche dégoulinante de salives, offerte à la vue du premier voisin venu. Quelle humiliation !
    
    Mais le pire n’était pas arrivé, il fit quelque chose qui blessa vraiment mon ego meurtri de femme rêveuse, il me cracha au visage. Je peux vous dire que la première fois qu’un homme crache sur vous comme si c’était un geste parfaitement normal, quelque chose se brise en vous. Alors que ma bouche était ravagée depuis quelques minutes, l’homme m’agrippa fermement par ma longue chevelure, pour me pousser vers ma chambre, enleva mon string et me balança sur mon lit. Là, il me fit me cambrer, introduisit deux doigts en moi sans ménagement, sous mes cris de déplaisir. Après avoir craché sur mon petit trou, il m’aspergea de lubrifiant. Il m’a ensuite enfilé pendant une dizaine de minutes sans ménagement, ne se souciant guère de mon plaisir. Nouvelle blessure pour mon ego, constater que je ne valais pas mieux qu’un trou pour lui. Puis au bout de dix minutes de va-et-vient brutaux dans mes fesses, il juta dans son préservatif.
    
    Tranquillement, il alla prendre une douche, puis au moment de partir, me donna une petite claque et dit ses premiers mots de la soirée.
    
    — Appelle-moi quand tu veux pour te faire péter ma chérie ! Ton petit cul de blanche était agréable.
    
    Puis il quitta mon appartement.
    
    Mes jambes cédèrent et je m’effondrais en pleurs, meurtrie, dès que ma porte fut fermée à clé sur le dos de mon amant. Honteuse, souillée, je me suis ...
    ... précipitée sur ma bouteille de vodka et lui ai fait sa fête. Avilie par un inconnu et ivre, j’ai pris une décision stupide, j’ai appelé mon meilleur ami au milieu de la nuit et lui ai demandé de me rejoindre en pleurs. Vous n’imaginez pas la chance que j’aie, d’avoir un ami qui n’hésite pas à interrompre sa nuit pour venir vous rejoindre en cas de crise. Plusieurs minutes passèrent, et ma porte sonna à nouveau.
    
    Il écarquilla de grands yeux en me voyant ouvrir la porte. Surpris de voir une femme débraillée à la place de son meilleur ami. Ivre, j’avais oublié que je n’avais pas encore fait mon coming-out. Mais mes larmes et mon mascara en bataille sur mon visage firent qu’il eut la décence de ne pas poser de questions et de rentrer dans mon appartement, toujours tamisé et puant le sexe. Nous nous sommes assis contre mon canapé, avons partagé une bière, et entre deux sanglots je lui ai raconté mes malheurs. Lentement, il caressait ma main pour me réconforter, tout en m’écoutant patiemment.
    
    À la fin de mon récit, nos mains avaient glissé sur ses cuisses, et maintenant que mes larmes étaient enfin taries, j’ai remarqué une immense bosse sous le jean de mon ami. Rougissante, je me suis rendu compte que le récit de ma partie de sexe dégradante, lui avait donné une érection d’enfer. Il n’était pas solidaire, il bandait de mes malheurs. Ayant compris que j’avais compris, il me regarda droit dans les yeux.
    
    — Pas la peine de chialer Mathilde ! Tu aimes la bite et tu n’y peux rien, ...