1. Un réveillon pervers (3)


    Datte: 17/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Flore, Source: Hds

    ... chaud.
    
    Tony n'avait pas tardé à poser sa main sur ma cuisse et la faisait aller délicatement de bas en haut remontant toujours plus vers ma fourche venant frôler mon intimité. Aussi j'écartais mes cuisses pour lui faciliter le passage et ses doigts vinrent naturellement agacer mon clito déjà bien gonfler et à la sensibilité exacerbée. Il put aussi constater la moiteur (le mot est faible) de ma fente. Après deux ou trois baisers échangés, n'y tenant plus, je me penchais vers ses cuisses, défaisais sa ceinture faisais sauter l'attache du pantalon descendais la fermeture à glissière et enfin je glissais mes doigts par dessus son boxer tout en appréciant la raideur qui se trouvait sous le tissu. M'adressant à Tony :
    
    - Tu vois j'ose !
    
    Ayant trop envie de la tenir dans ma main, je baissais le boxer et elle se dressa sous mes yeux à quelques centimètres de mon visage. Mes doigts montaient et descendaient le long de cette belle tige palpitante, je décalottais le gland, j'y faisais glisser le pouce dessus et ne pouvant plus tenir, mes lèvres vinrent l'entourer pour l'enfourner aussitôt au fond de ma gorge presque à m'en étouffer ! Ensuite ma langue vint se mêler à la danse, de la pointe je lui titillais son méat faisais le tour de sa couronne je le léchais avant de l'enfourner à nouveau et d'enchainer des aller retour sur sa respectueuse bite (le garçon avait été gâté par la nature).
    
    La situation m’excitait fortement, tailler une pipe sur le siège arrière de cette voiture ...
    ... alors que juste devant les deux copains entendaient et le passager pouvait nous regarder juste en tournant la tête était pour moi exceptionnel. En rajoutant que ma position avait permis à Tony de retrousser ma courte robe pour me caresser les fesses, ma chatte ou mon petit œillet, tout cela me faisait mouiller comme rarement, je n’avais pas besoin de le vérifier de mes doigts pour m’en persuader, j’étais pour le moins poisseuse. Mes petits râles étaient la confirmation de mon état de surexcitation. Mes fesses au centre de la banquette ne devaient plus avoir de secret pour les passagers avant, d’ailleurs une autre main venait de rejoindre celle de Tony sur mes fesses, le petit coup d’œil me permit de voir Alban de biais sur son siège et son bras gauche dirigé vers la banquette arrière. Mon état empira, je sentais des frissons de plaisirs courir sous ma peau, mon ventre rempli de délicieux picotements, mes seins gonflés aux tétons tendus à m’en faire mal. Dans un souffle rauque j’ai dit à Tony :
    
    - Prends-moi !
    
    Sur un ton de voix ferme il me répondit :
    
    - Tu as envie de bites, hein, salope.
    
    - Oui très envie.
    
    - En plus de la mienne tu veux celles d’Alban et d’Hugo ?
    
    - Humm oui !
    
    - Et où tu les veux nos trois bites ?
    
    - Je veux que vous me baisiez la bouche, la chatte, le cul !
    
    - De quelle façon tu veux qu’on te baise ?
    
    - Je veux que vous me preniez comme une salope, une chienne, je suis votre pute !
    
    - Mais tu es vraiment une salope qui laisse tomber ...
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