Chantal, la sœur de Marilyn (10)
Datte: 17/06/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Phantome, Source: Xstory
... manque énormément, Marilyn aussi.
Mes deux nièces m’ont fait rajeunir de 20 ans, surtout côté sexe et elles me manquent énormément.
Je suis retourné au libre-service où j’ai baisé ma jeune nièce derrière le local à poubelles et reconnu la caissière en payant mes achats.
— Bonjour Colette,
En regardant son badge, pas pour me rappeler son nom, mais pour mater ses seins dans son décolleté.
— Bonjour, Monsieur, vous n’êtes plus avec la petite rouquine.
— Oh non, elle était là juste pour les vacances. Maintenant je me sens bien seul.
— Je m’en doute car elle n’avait pas l’air d’avoir froid aux yeux la coquine.
— Oui, on ne risque pas de l’oublier. Malgré son jeune âge, elle n’est probablement pas si innocente et moins délurée que vous.
Je regrette aussitôt mes paroles mais Collette ne s’offusque pas et me répond en souriant.
— Il ne faut jamais se fier aux apparences... Me répond-elle avant d’ajouter en regardant autour d’elle si personne ne peut l’entendre.
— Je ne suis peut-être pas si innocente que ça...
— Oooh, vraiment mademoiselle...
— Oui, comme cette mignonne petite avec toutes ses taches de rousseur. Une amie peut-être ?
— Non... c’est juste la plus jeune de mes nièces ?
Surprise, Collette laisse tomber le paquet de nouilles qu’elle a en main et après avoir repris sa respiration, elle murmure, ses yeux dans les miens.
— Cette rouquine avec ses petits nichons et ses taches de rousseur... et que vous baisiez derrière la benne ...
... à ordures ?
— J’en ai bien peur... vous êtes offensée, choquée...
— Aucunement, juste un peu jalouse, car mon oncle se contente de m’offrir des cadeaux à noël pour me faire plaisir.
— C’est dommage car vous avez passé l’âge de jouer à la poupée.
— Oooh, ouiii, le joujou que vous utilisiez avec votre nièce, me donnerait sûrement beaucoup plus de plaisir...
— Probablement... Mademoiselle.
— Si jamais vous vous sentez trop seul, je pourrais vous tenir compagnie et même une nuit si vous êtes libre.
— Toutes mes nuits sont libres, Mademoiselle.
— Je finis à 19 heures...
— Vous savez où j’habite ?
— Oui je passe devant pour rentrer chez mes parents.
— Parfait, dois-je acheter du champagne ou du Whisky pour vous recevoir ?
— Je ne suis pas assez vieille pour boire de l’alcool, mais assez vieille pour toutes autres choses... cher Monsieur.
— Alors à plus tard, belle demoiselle.
Je regagne ma voiture qui est presque la seule sur le parking et lorsque je m’apprête à démarrer, je vois Colette sortir en trombe de la supérette.
S’assurant qu’il n’y a personne aux alentours,
Elle s’approche de ma vitre ouverte, lève son tee-shirt, pour pendant une brève seconde, me donner un aperçu de ses superbes seins qui n’ont pas besoin de soutien-gorge pour être soutenus.
— J’ai espéré une seconde que vous êtes sortie pour m’inviter à aller derrière la benne à ordures.
— Coquin ! Non, mais j’aimerais connaître votre prénom. Je ne peux pas continuer ...