1. L'autre sexe au naturel. (2)


    Datte: 17/06/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... deux mains, on signe le document. Monsieur Charles en est ravi et nous sourit.
    
    — Vous êtes les troisièmes à accepter, dit-il en regardant Juju.
    
    Il se lève et passe derrière nous. Il nous passe un fin petit collier en cuir, rouge pour Genny et rose pour moi.
    
    — Ne les quittez jamais. Vous pouvez me tutoyer et m’appeler par mon prénom. Voilà, voilà. J’ai la dalle, allez vous habiller, on sort, dit-il avant de disparaître.
    
    Juju nous amène dans une autre chambre. Une chambre luxueuse. Un grand lit à baldaquin avec de multiples armoires.
    
    — Voilà ma chambre, notre chambre.
    
    On saute de joie et on se retrouve au milieu de ce grand lit qui, sans mentir, doit faire quatre mètres par trois. Je nage de bonheur. Elle fixe une petite porte.
    
    — L’accès à la chambre de Charles, nous dit-elle, nous ne sommes autorisées à aller le retrouver que si elle est ouverte. Ah, j’allais oublier, notre salle de bain est là-bas, mais je vous ferais visiter plus tard, on n’a pas le temps.
    
    On s’habille avec nos microjupettes, de mon body pour moi, du marcel pour ma sœur et Juju. Elle passe un collier identique aux nôtres. Il est bleu. On met nos talons. Il nous attend effectivement dans son immense voiture. La clim en fonction nous tétanise et nos tétons se dressent. Charles le sait. Il en rigole. On part en direction du Grau-du-Roy. Avec sa voiture puissante, on arrive vite dans un petit chemin de terre battue. On s’arrête devant une immense bâtisse, un mas provençal.
    
    — Ça ...
    ... appartient à Charles, nous glisse-t-elle discrètement, vous allez être surprise de l’ambiance de ce resto. Il possède également une charmante villa au Cap-d’Agde.
    
    En bon prince, il nous ouvre la portière. On descend. Un voiturier prend le volant après avoir salué Charles. Il rentre en premier, signe d’un savoir-vivre évident et nous tient la porte. Il y a plusieurs couples agglutinés près du bar où officient deux créatures aux seins nus.
    
    — Ne vous inquiétez pas. Ce sont juste des employées, nous dit Juju, bien que j’en ai déjà vu une ou deux dans la piscine de la villa.
    
    Charles nous guide dans une petite salle où est joliment dressée une table pour quatre. Il ne s’assoit pas, il va dans une pièce attenante.
    
    — Vous allez être chaude comme la braise. Vous allez devoir manger à côté d’un bel étalon. Il y a un pan, au niveau de sa bite maintenue par deux boutons-pression; vraiment très sexy comme tenue.
    
    Il s’assoit et secoue une clochette. Une jeune femme noire, la vingtaine comme nous, entre avec un seau à champagne et nous sert. Elle est nue. Elle n’est pas grande; les cheveux rasés, seins en poire qui tombent un peu; chatte rasée, yeux d’un noir profond et des fesses magnifiques.
    
    — Merci, Gladys.
    
    Elle repart par la porte qu’il avait empruntée un peu plus tôt.
    
    — Très gentille fille. Juju pourra vous le confirmer.
    
    On trinque tous les quatre à notre venue dans sa maison. Il est heureux de nous avoir trouvées, Justine commençait à s’ennuyer.
    
    — Vous n’avez ...
«12...678...»