L'apprentissage d'Arnaud
Datte: 16/06/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
Inceste / Tabou
vacances,
amour,
noculotte,
Oral
pénétratio,
mélo,
amourcach,
Auteur: Bertrand d, Source: Revebebe
... m’a avoué que lui aussi était comblé. Mon père avait vite saisi la nature de nos relations, mais me laissait libre. Et même, j’ai compris que cela l’arrangeait. En effet, j’ai un frère qui, dans l’esprit de mon père, devrait prendre sa succession. Mais, il a refusé ce travail manuel et a poursuivi des études. Il est à présent cadre dans une banque. Or, puisque Olivier, mon amant, semblait tellement heureux d’être ici, j’ai songé que je pourrais l’encourager à rester avec nous. Pour l’inciter un peu plus, sans lui demander son avis, j’ai arrêté de prendre la pilule. Je suis naturellement tombée enceinte et lui ai alors révélé ma grossesse un mois avant la date prévue de son départ. Il n’a pas dit un mot, mais est devenu tout pâle. J’ai immédiatement compris que j’avais fait une erreur. Il est sorti, a rejoint l’atelier. Une heure après, il est revenu et m’a dit :
— D’accord, je reste, je reconnaîtrai l’enfant.
Mais à partir de ce jour-là, il a totalement changé. Certes il assurait toujours le travail avec autant de conscience, était toujours poli. Mais il était fermé, avait perdu son humour et son sourire. Nos relations amoureuses étaient beaucoup plus calmes et surtout plus espacées. Jusqu’au jour où il m’a dit que compte tenu de mon état, il valait mieux les interrompre. J’ai compris que je lui avais brisé sa vie. Un soir, je lui ai demandé de me faire l’amour. Après une séance sensationnelle, je lui ai dit de partir, que je ne l’aimais pas. Il a refusé. Dès le ...
... lendemain j’ai demandé à mon père de le licencier.
Olivier n’a rien dit. Il savait que ce n’était pas sa compétence que l’on mettait en doute. Le lendemain matin, il est parti. Il m’a serrée dans ses bras, il avait des larmes dans les yeux, mais l’appel de la route était trop fort.
J’ai accouché d’un fils né de père inconnu. Je n’ai plus jamais eu de nouvelles d’Olivier. Mon père s’est consolé en se disant qu’il avait un petit-fils qui prendrait sa succession. Voilà pourquoi il m’a laissé t’expliquer la situation. Naturellement tu peux amener des filles, c’est normal à ton âge.
— Je te remercie de m’avoir fait confiance et expliqué toute l’histoire. Je t’avoue que je comprends que tu sois dans une situation délicate. Je regrette, parce que dès que je t’ai vue, tu m’as plu et je t’ai désirée. Mais sois tranquille, je ne t’importunerai pas.
— Mais je ne t’ai pas interdit de me faire la cour, dans ce cas je réfléchirai à ce que je dois te répondre.
Tout était pour le mieux : j’avais un patron parfait, un travail passionnant, je prenais mes repas avec eux, et surtout j’avais une chambre où Nancy venait souvent me rejoindre. Yves avait très vite compris la situation et l’admettait volontiers. Il allait peut-être avoir un gendre et un successeur.
Un jour, Yves a reçu une invitation à aller participer à la journée « portes ouvertes » à la maison des compagnons de Nîmes. J’étais également invité. C’était prévu pour trois semaines plus tard, un samedi. Naturellement nous avons ...