1. Les nièces jumelles : saison 4 (1)


    Datte: 16/06/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Loco2016, Source: Xstory

    ... pénétrer. C’est à croire que je commence à être à l’aise avec une fille. J’attrape par les hanches et lui ramone la chatte. Je peux enfin la prendre aussi fort que je veux ! C’est qu’elle m’a rendu fou tout à l’heure à m’obliger de rester passif ! J’aime très vite cette position. Voir Lucy soumise comme une chienne, c’est quelque chose. En plus, elle a un de ses culs ! Elle a beau me prendre de haut, se moquer de moi, mais en vrai, elle aime ça. Elle le veut, elle me veut. Moi, un puceau. Je fais sonner le son de mes couilles à chacun de mes assauts. J’ai à la fois envie de la punir, et de lui donner du plaisir :
    
    — Alors frangin, c’est comment de baiser pour sa première fois ? me sort Noa.
    
    — C’est trop bon ! Surtout avec un tel canon, putain !
    
    — Je t’avoue que je ne m’étais jamais tapé d’aussi belles nanas non plus. Tu as de la chance. Ma première était loin d’être aussi chaude !
    
    — Vos gueules et baisez-nous, nous interrompt Lucy.
    
    Les sons que nous faisons alors que nous copulons me suffiraient comme support pour une branlette solitaire. Les soupires et les cris sont d’autant de stimuli que les sensations d’un vagin étroit autour de mon sexe. Je me sens néanmoins toujours aussi jaloux de découvrir tout cela en retard. Que mon frère, mes cousines, et plein d’autres personnes, connaissent ce plaisir depuis si longtemps avant moi... Je veux le faire, le refaire, encore et encore, jusqu’à la fin de mes jours. C’est incroyable de pouvoir partager ça avec ...
    ... quelqu’un, et avec un autre « couple ».
    
    J’ignore combien de minutes se sont écoulées depuis que nous avons commencé, tout comme j’ignore la durée normale que doit prendre un rapport pour faire jouir une fille. Tout ce que je sais, c’est que je commence à être épuisé. J’essaie de me retenir autant que je peux, mais tout se plaisir commence à se transformer en frustration de ne pas me laisser me décharger. Le torse de Lucy s’effondre comme si ses bras ne pouvaient plus la porter. Ses énormes nichons sont écrasés contre le transat. J’imagine à ses gémissements qu’elle ne doit plus être très loin de venir non plus. Je commence à me poser des questions idiotes : à partir de quel moment ai-je le droit de me laisser jouir ? Peut-être que même si je parviens à lui donner un orgasme, elle voudra continuer pour en avoir un autre. D’ailleurs, comment reconnaître quand elle a un orgasme ? Elle en a peut-être déjà eu un sans que je ne me rende compte.
    
    — Alors frangin, tu tiens le coup ? Tu n’as toujours pas envie d’éjaculer ? me sort Noa comme s’il lisait dans mes pensées.
    
    — Si, putain, je n’en peux plus.
    
    — Ne te retient pas alors. Laisse-toi gicler dans sa chatte.
    
    — Elle... n’a pas... encore... joui... fais-je péniblement.
    
    — Non, mais regarde là, elle n’attend que ça. C’est toi qu’elle attend pour jouir.
    
    — Remplis-la de sperme, elle adore ça, confirme Megan qui rebondit sur la queue de mon frère.
    
    L’intéressée ne réagit toujours pas, comme si elle le faisait exprès pour me ...