Les nièces jumelles : saison 4 (1)
Datte: 16/06/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Loco2016, Source: Xstory
... des inconnus. Je les connais, je me sens bien avec eux. Même si cela me dérange un peu de me dire que je fais ça avec une cousine, je me rassure en me disant que nous ne faisons rien de mal. Nous sommes juste quatre jeunes à la recherche de plaisir.
J’augmente mon rythme, trop excité. Je deviens un animal qui n’arrive à penser à autre chose qu’à lui ramoner le vagin. Lucy m’encourage en passant ses mains dans mon dos pour me presser contre elle. Je la regarde en train de rouler des yeux. Est-ce que je lui fais vraiment du bien, ou est-ce qu’elle simule ? Je voudrais tellement être un bon amant pour elle, la faire jouir. J’ai si peur de mal m’y prendre.
Noa ne se pose pas ce genre de questions. Il lime Megan qui soupire de plus en plus fort. Il ne la prend pas comme si elle était son amoureuse, mais comme une simple chienne. J’ai honte de son manque de respect envers cette femme avec qui nous avons vécu notre enfance. Et pourtant, cela n’a pas l’air de la déranger. Elle veut juste une bite et prendre son pied. Je ne la reconnais tellement pas. Jamais je n’aurais imaginé Megan offrir son corps au premier venu comme ça, ne fut-il son cousin.
Je ne vaux pas mieux que mon frère. Je ne suis pas amoureux et Lucy n’est pas ma copine, je suis juste un porc qui veut tirer son coup. Je chasse ces pensées pour profiter de l’instant présent. Je l’embrasse une nouvelle fois. C’est à la fois chaud et passionné. Mes hanches bougent toutes seules. Je suis l’homme le plus heureux du ...
... monde, c’est tellement bon d’être au fond d’une chatte. Personne ne dit rien, nous gémissons, nous baisons. Noa tire les cheveux de sa partenaire en lui donnant une fessée. Je ne pourrais jamais faire ça, tant bien même qu’elle aime ça.
Je me mets à grogner en y allant de plus en plus fort. Mes couilles claquent contre son pubis. Je sens que je ne vais plus tarder à venir. Je devrais peut-être m’arrêter, mais je n’arrive pas à être raisonnable. J’ai besoin de me finir.
— Andrew. Stop ! Stop ! m’alerte Lucy.
Je n’arrive pas à l’écouter.
— Stop ! insiste-t-elle.
Elle me repousse et me fait sortir d’elle. Merde ! Merde ! Non ! Pas maintenant ! J’étais si proche... J’ai besoin, j’ai trop besoin ! Cette interruption me fait redescendre sur terre. Bordel, qu’est-ce que j’ai fait ? Je me sens sale tout à coup :
— Je suis désolé, je t’ai fait mal ? fais-je.
— Mais non, idiot, se moque-t-elle de moi devant mon air penaud. Mais il ne faut pas que tu viennes trop vite, c’est tout. Nous avons tout notre temps. Viens, on va changer de position.
Les filles nous font nous allonger dans des transats côte à côte. Le temps de m’installer, j’ai le temps de me calmer. Elles grimpent ensuite sur nous et attrapent nonchalamment nos sexes pour se les introduire en elles. Elles nous chevauchent de concert comme si elles avaient l’habitude de faire ce genre de choses, s’échangeant des regards et des sourires complices. Cela me permet d’admirer Lucy dans toute sa splendeur. Ses ...