Hélène (35)
Datte: 16/06/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: rouge22, Source: Xstory
... bras-le-corps, et me fait pivoter. Il place mon bassin sur l’accoudoir, mon sexe bâille entre mes cuisses ouvertes.
Pierre
J’ai une vue magnifique sur l’entrejambe de ma chérie. Ma belle est trempée. Ses lèvres intimes ont rosi. Je m’empare à nouveau du martinet. Je passe les lanières, la face interne de la cuisse gauche. Elle frissonne. Je recommence sur sa chatte et je remonte sur son périnée jusqu’à son anus. Elle tremble...
Hélène.
J’ai peur, il va me fouetter là où nous, les femmes, sommes si sensibles, si délicates. Je ne mérite pas cette punition. J’ai à peine fouettouillé Mel, j’ai presque été gentille avec elle.
Je tremble dans l’attente de la cinglée.
Une caresse humide et râpeuse parcourt mon sexe, puis glisse sur mon œillet. Mon orifice caché s’ouvre avec complaisance, attendant une pénétration, mais mon coquin a choisi de jouer, et il repart vers ma chatte. Sa langue farfouille dans ma minette. Je miaule de bonheur. Il glisse jusqu’à mon bourgeon et l’aspire, je sens le sang affluer dans mon organe érectile qui se dégage de son capuchon. Il le râpe, provoquant des ondes de plaisir. Je halète de plus en plus vite, je vais partir.
Il s’arrête, me frustrant de ma jouissance.
Et il reprend la fouille de mon intimité, sa langue se glisse entre mes lèvres intimes, il les mordille, je crispe mes mains menottées, je me cambre pour lui faciliter l’accès de mon entrejambe. Je vais partir quand il stoppe son cunni. Je gémis.
— ...
... Pourquoi ?
Il pose ses lèvres sur mon anus et me caresse de sa langue, je m’ouvre ; il me pénètre et m’encule de son muscle roulé en cigare ; il me pistonne, je pars à nouveau. Mais il se dégage à nouveau.
Un petit break et il se jette sur mes organes si sensibles
Une main s’est glissée dans mon corsage, et me pince un téton : jouissance en haut, jouissance en bas. Pourvu qu’il ne cesse pas.
Il ne me suce plus, il me bouffe les lèvres ; il mastique mon clito, il mord mon bourrelet anal et il m’encule de sa langue.
Jamais je n’ai connu un cunni aussi sauvage. Je monte, je monte...
Il me délivre en aspirant violemment mon clitoris. Je m’effondre dans un râle de bête.
Il ne me laisse pas redescendre. Il défait mes menottes, et me retourne dans ses bras et m’embrasse délicatement, je glisse mes bras autour de son cou et je lui rends goulûment son baiser.
Nous restons en apnée une éternité, soudés par nos lèvres.
Un ange passe, puis toute une escadrille.
Nous nous désunissons.
— Dis donc, quel enthousiasme, je t’ai beaucoup manqué. Et j’ajoute.
— Et tu es resté fidèle.
— Comment ça ?
— Tu m’as remplie. Tu as dû dégorger la production d’une semaine, au moins...
Je ne me suis pas rhabillée, après la douche pour éviter le froid du cuir, Pierre a drapé le canapé d’une couverture de fausse fourrure. Je suis dans les bras de mon amant, au naturel, sous une couette douillette.
Je me glisse à hauteur de sa verge. Un petit coup de langue et Monsieur se ...