1. L'Anomalie de Mère Nature (2)


    Datte: 15/06/2019, Catégories: Transexuels Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    Je suis rentré chez moi tardivement, ayant prétexté que je passais la soirée chez Julien et je suis allé directement dans ma chambre, mes parents étaient couchés depuis longtemps.
    
    J’avais gardé cette semence dans mon orifice, qui s’écoulait petit à petit, dégageant une odeur de sexe, d’homme, qui me rendait complètement fou d’excitation. J’ai passé la nuit à me branler la chatte, mon clito, mes doigts pouvant enfin s’enfoncer le plus loin possible, là où le passage avait été fait par Ahmed.
    
    Il m’avait fait promettre de le retrouver le lendemain, voulant encore profiter de mon « anomalie » qui avait l’air de bien lui convenir. Cet acte de chair, cet accouplement répété à plusieurs reprises, avait rejeté loin de moi toutes mes inhibitions d’avant, mes complexes pour laisser place à une soif de sexe qui ne semblait jamais s’éteindre.
    
    Mes parents enfin partis en Week-end dans notre village, j’ai couru rejoindre Ahmed, qui m’attendait sur le même banc et qui m’a demandé de le suivre. J’aurais dû être inquiet, mais je ne l’étais pas, sentant mon vagin s’humidifier au fur et à mesure que nous avancions, nous dirigeant vers un foyer d’émigrés que je connaissais vaguement.
    
    Sur le perron du bâtiment, deux hommes fumaient une cigarette, et ils ont échangé quelques mots en arabe avec lui. Ils m’ont souri et fait un petit clin d’œil. Mon regard qui commençait à scruter les hommes, s’est posé sur leurs entrejambes, et j’ai pu constater deux belles bosses qui s’y étaient ...
    ... formées.
    
    Arrivé dans sa chambre, Ahmed m’a jeté sur le lit, enlevé mes vêtements, écartant mes cuisses pour contempler ma chatte. Il l’a parcourue de ses doigts, de bas en haut, branlant mon clito; son index et son majeur venant vite vérifier la chaleur de mon orifice.
    
    Nu en quelques secondes, il s’est allongé sur moi, son corps velu sur le mien, son énorme barre appuyant sur mon ventre. Il a très vite baissé ma tête pour que je l’enfourne dans ma bouche, mes mains au bas du sceptre et sur ses couilles, pleines et tout aussi poilues. Ma première jouissance est arrivée rapidement, fulgurante, rien qu’avec les va-et-vient de ses doigts dans mon intérieur.
    
    Il m’a allongé sur le dos, son pieu de chair est venu se frotter contre mes lèvres jusqu’à mon clito, son gland s’est enfoncé en moi, et sa bite a suivi, m’embrochant comme un poulet, en me possédant d’une manière frénétique. La deuxième est arrivée au moment où il déversait son trop-plein de couilles le plus loin possible dans ma cavité destinée au plaisir des hommes.
    
    Son éjaculation ne l’avait pas calmé, et c’est en levrette qu’il m’a pénétré à nouveau, son membre sortant quelquefois pour se frotter à mon petit trou qui était encore vierge. Des jets ont encore inondé mon vagin et c’est à la quatrième reprise qu’il s’est affalé sur moi, entre mes jambes bien écartées, son corps exsudant cette odeur de mâle repu; son jus dégoulinait sur mes cuisses.
    
    Avec un certain regret, je me suis rendu à la salle de bains, ...
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